Modèle d'Exposition
Datte: 13/11/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... semaines, nu et à la disposition des clients pour essayer des objets ou des tenues, nous pourrions te rémunérer en matériel d'ici. Qu'en penses-tu?
- (Mon cœur battait la chamade, il semblait très gentil et conciliant, Eh oui cela me permettrait du coup d'avoir des jouets moins chers). Oui Monsieur, mais je devrais faire quoi?
- Un peu comme la dernière fois, essayer des vêtements, faire ce qu'on te demande, rien de sexuel. D'ailleurs il ne faudra pas que tu rejouisses d'accord?
- Oui Monsieur.
- Alors on se dit qu'on fait affaire?
- Oui Monsieur.
- Ce que je te propose alors, c'est que tu enfiles ce short et ces bas, et que tu reviennes à 18h pour commencer tes deux semaines.
Je me déshabillais sur place et enfilait le short avec déjà plus de dextérité. Retrouver ces sensations douloureuses me fit bander à nouveau immédiatement, ce qui fit rire le vendeur. Il me massa le sexe pour le plaisir de me voir le supplier. Je réalisais que c'était bizarre leur proposition car il y avait tellement de mecs voulant se soumettre. Mais j'ignorais à ce moment-là que l'immense majorité ne fait que fantasmer, et que personne n'aurait pris le risque de s'exposer ainsi dans un tel lieu. Sauf moi, totalement naïf. Et sans aucun repère.
Ce que je n'avais pas vu c'était que les bas se fixaient sur le boxer pour être bien tirés. Eux aussi me semblaient petits et la tension était forte, plaquant les pointes sur toute la longueur de mes jambes, sans parler de celle qui ...
... étaient sous mes plantes de pied, me faisant hurler. Je remis mon pantalon, mes chaussettes et mes chaussure, ce qui ne me soulagea qu'à peine. Me mouvoir était une souffrance terrible, et au sourire carnassier du vieux vendeur, je me dis que j'allais bien mériter mon salaire. Mon sexe ne faisait que bander malgré les souffrances dans tout le bas de mon corps.
Je sortis dans l'impasse en marchant doucement, ayant laissé mon portefeuille à la caisse. Ils ne voulaient pas que je disparaisse avec la marchandise. J'avais trois heures à tuer, et j'habitais trop loin pour aller m'y reposer. Je décidais de me prendre un goûter dans un square, transférant la souffrance de mes pieds à mes fesses. Je venais de m'infliger des souffrances comme jamais et en plus je m'étais engagé pour deux semaines de démonstration. Je n'arrivais à penser à rien d'autre, et juste d'imaginer ce qui risquait de m'arriver, je bandais de plus en plus. J'étais heureux qu'ils aient pensé à moi. Ne pouvant pas tenir plus longtemps, je m'engouffrais à nouveau dans l'impasse du magasin et dans un coin calme je me fis jouir pour apaiser la tension. L'orgasme éclata dans la souffrance des pointes me déchirant, remplissant la culotte de mon sperme. Et sans doute de mon sang.
Je fus d'un coup dégrisé, me demandant comment faire avec Victor, le vieux vendeur qui semblait être le patron et m'avait interdit de jouir dans le boxer. Il me restait deux heures à tuer et peut être je pourrais trouver un endroit pour tout ...