1. Une fausse simulation


    Datte: 04/11/2024, Catégories: fh, fplusag, cinéma, Oral fsodo, Humour occasion, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... vraiment imaginer qu’il lui faisait l’amour. Mais elle dut se rendre à l’évidence : il bandait de plus en plus. Elle eut beau lui murmurer à l’oreille « calme-toi », rien n’y faisait. Le corps voluptueux de Karine inspirait de plus en plus l’acteur. Et cette tige rigide, particulièrement longue, contre son bas-ventre la laissait de moins en moins insensible. Force lui fut de reconnaître qu’elle mouillait. Au moins, ça ne se verrait pas à l’écran, se rassura-t-elle.
    
    C’est alors que Frank amorça une légère rotation de ses hanches et, sans prévenir, pénétra Karine.
    
    — Mais qu’est-ce que tu fais, tu es fou, lui souffla-t-elle à l’oreille.
    — Tais-toi et baise, lui répondit-il.
    
    Engagé totalement, Frank se mit à rouler des hanches en faisant attention à ne pas trop sortir son pénis, ce que n’aurait pas manqué de découvrir le caméraman malgré son plan large. Comme il était doté d’un organe volumineux, Karine n’en était pas moins très envahie. Instinctivement, elle commença à lui renvoyer la balle à grands coups de fesses. Elle pensa soudain à une confession de son actrice amie Emmanuelle, de son âge, qui lui avait avoué avoir carrément baisé dans une scène de sexe supposée soft qui lui avait dit « ne pas avoir eu besoin de faire croire que je prenais mon pied car je le prenais vraiment ». Karine en avait été choquée, lui avait même fait la leçon. Et c’était elle maintenant qui se faisait reluire au nom du septième art…
    
    — Oui, c’est bon ça, continuez ! dit Mike.
    
    Elle ...
    ... attrapa le regard de Frank qui lui souriait en la creusant inlassablement, et elle lui rendit son sourire. Elle l’encercla de ses jambes pour le forcer à se maintenir en elle, accompagna ses rotations et peu à peu, perdit pied. Elle ne simulait plus le plaisir. Elle prenait vraiment son pied. Encouragé, Frank se mit à la pilonner avec ardeur, faisant remuer ses seins lourds, bien étalés sur son torse, tandis qu’elle lui griffait les épaules. Elle avait complètement oublié la caméra et ne pensait plus qu’à cette bite qui la menait inexorablement à l’orgasme. Elle se lâcha complètement : « oui oui, encore encore, t’arrête pas ».
    
    — C’est bon Karine, continue comme ça, cria le metteur en scène, soudain survolté.
    
    Elle pétrissait maintenant les fesses de Frank, tendu comme un arc et l’embrassant brièvement en poursuivant sa fouille. Auraient-ils été dans l’intimité qu’il se serait interrompu pour la prendre par-derrière, ou bien lui permettre de le chevaucher pour mater ses gros nichons mais non, ils étaient en scène. Heureusement qu’elle n’était pas bien éclairée car on aurait vu ses couilles ballotter entre les belles cuisses de Karine. Il lui murmura à l’oreille :
    
    — Allez, on jouit maintenant, ensemble.
    
    Quelques fougueuses ruées et Frank sentit son sperme jaillir tandis que Karine se pâmait avec des gargouillis qui ne laissaient place aucunement au doute : elle avait joui, et pas qu’un peu.
    
    — Coupez ! cria Mike.
    
    Le couple mit quelques secondes à se dissocier. ...