« Josy » : La petite salope et les déménageurs Épisode 29
Datte: 31/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... pause et burent une bière sortie de leur glacière. Avant de descendre à la petite superette du village, se situant à deux kilomètres en contre bas de mon domicile, afin de faire quelques courses indispensables. Denis le fils aîné du patron qui venait de fermer les portes du véhicule, se retrouvant seul avec moi, en avait profité pour me coincer dans l’entrée, en me plaquant contre le mur :
— T’es trop bandante ! Tu m’excites depuis hier.
Ce type grand et costaud désirait m’embrasser en me pelotant les seins pendant que j’essayais tant bien que mal de le repousser. Je ne voulais pas me fâcher avec ce mec de mon âge, pas trop mal physiquement et d’en d’autres circonstances, je n’aurais certainement pas été contre. Cependant, ce n’était pas le moment et lui dis gentiment. Voyant que je refusais ses avances, il me répondit : « Je sais ce que vous avez fait dans le camion. » Je fis mine de rien entendre et j’étais montée dans ma voiture.
Le fils était bien comme son père, aussi audacieux, cela m’avait une nouvelle fois bien excité. Lorsque j’étais remontée vers 18 heures, Gaétan et Jean-Pierre s’attelaient à monter le grand living, Serge déplaçait les cartons vers leur destination, dans les pièces correspondantes, pendant que Denis s’apprêtait à installer le dernier lit dans ma chambre à coucher. Ayant besoin de moi, il m’appela afin que je lui tienne les plus longues pièces puis une fois que nous avions installé le matelas sur le sommier, il me poussa dessus et se ...
... coucha sur moi, en abaissant carrément mon top qui n’était plus qu’une ceinture, laissant apparaitre ma poitrine gonflée avec ses tétons érigés.
Je vous avoue que j’avais tout fait pour le mettre dans tous ces états pendant les dix minutes précédentes et que je m’attendais à une réaction de sa part. Je me laissais donc faire, il embrassait mes seins et me tétait les mamelons, je mouillais comme une folle. Je lui retirai son pantalon et l’avais aidé à glisser son préservatif avec mes lèvres le long de sa colonne de chair bandante à souhait. Après lui avoir salivé sa queue, je me mis à genou devant le lit et me couchai le torse sur le matelas, tendant ma croupe bien en arrière, lui offrant ainsi la possibilité de me prendre : « Comme mon père, tu veux que je t’encule ? »— Oui ! sodomise-moi ! Ne discute pas tant, vas-y !
Là encore, je prenais mon pied, une douce chaleur envahissait mes entrailles. À genoux derrière-moi, ses mains accrochées à mon ventre, Denis me ramonait le conduit sans douceur mais sans brutalité. Soudain, Serge fit son apparition avec un carton à la main qu’il posa sur le sol, avant de venir vers moi, pour me caresser les seins sans même me le demander. Ce n’était que du bonheur en plus pour moi. Pendant que les doigts agiles de Denis me masturbaient en même temps qu’il me sodomisait. Je jouis en criant mon bonheur, tandis que Serge demanda à son frère avant qu’il ne remplisse sa capote :
— Denis ! Laisse-moi la place. Je veux l’enculer la salope !
Je ...