1. « Josy » : La petite salope et les déménageurs Épisode 29


    Datte: 31/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... jouissance, en gémissant et en poussant de petits cris.
    
    J’imaginais Gaétan de conducteur, il devait être en pleine érection et devait être déçu de ne pas pouvoir regarder et surtout ne pas participer. Ce fut à cet instant, que j’ouvris les yeux. Jean-Pierre la tête relevée, me fixait avec un sourire qui lui fendait le visage : « Ça t’as plu, petite cochonne, attends la suite. » Les jambes relevées et écartées, j’étais encore dans un état second, après mon orgasme. Me voyant dans cette position, prête à servir de vide couille, il avait encore pris plus d’assurance. Il baissa rapidement son pantalon, sortit sa verge, d’une taille moyenne sans plus, mais bien raide et suffisamment dure pour faire coulisser le latex.
    
    Vu l’état d’excitation qui lui démangeait l’entrejambe, désirant me prendre au plus vite, il se retourna comme il put afin de me présenter son gland gainé devant ma chatte qui suintait encore. Cependant, je n’avais pas envie que cet homme me baise et lui dit gentiment : « Non Monsieur ! Pas par-là ! Prenez l’autre trou ! » À cet instant, j’entendis Gaétan pouffé, en se retenant de rire aux éclats. De savoir qu’un voyeur (Ou plutôt un entendeur LOL) était à quelques centimètres de nous, m’excitait d’autant plus. Pendant ce temps, Jean-Pierre, n’en attendant pas plus, me plia les genoux sur ma poitrine afin de me relever le bassin.
    
    Dans la bonne position, il cracha sur ma raie et enduisit mon anus de sa salive afin de me préparer à la sodomie : « Tu veux te ...
    ... faire enculer ma petite cochonne, j’adore ça. » Avec le ton qu’il avait utilisé, il ne regrettait pas ma proposition. Lentement, son pénis s’enfonça petit à petit dans mon petit trou, puis une fois que ses bourses firent contact contre mes fesses, il me lima longuement, me ramonant le conduit anal d’une manière animale et régulière. Ayant glissé mon bras sous mes cuisses, ma main atteint mon pubis et mes doigts me masturbèrent énergiquement jusqu’à ma jouissance, pendant qu’il m’enculait sans vergogne, avant de se vider dans sa capote.
    
    Une fois que Jean-Pierre fut repassé devant, je m’étais rendormie profondément pendant la dernière heure de route. N’ayant rien à la maison pour préparer à manger, nous nous étions arrêtés sur un parking, devant un snack ambulant, pour prendre une petite collation. Attablée avec le patron si nous avions parlé de l’organisation, il essayait de me mettre la main sur la cuisse. Je lui fis comprendre que je n’étais pas disposée à renouveler ce que nous avions pu vivre une heure plus tôt. Tandis que sur l’autre table, si je n’avais pas entendu, j’imaginais Gaétan parler à voix basse expliquant en détail ce que leur père venait de me faire sur la banquette arrière.
    
    Arrivés à destination, tout était planifié, chaque type savait ce qu’il devait faire. Le camion se vidait à vue d’œil à une vitesse incroyable. Une fois déchargé entièrement, les quatre déménageurs dont Serge le plus jeune fils, ayant à peine un peu plus que dix-huit ans, firent une ...
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