1. « Josy » : La petite salope et les déménageurs Épisode 29


    Datte: 31/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    Les jours précédant mon déménagement, il faisait encore très chaud et la météo annonçait pour le 1er octobre un record de chaleur. Ayant déjà fait la veille, mes nombreuses valises pleines de fringues et mis en cartons toutes mes chaussures, afin d’être dans une tenue décontractée, j’avais gardé deux top bandeau moulant sans bretelle, un noir et un blanc, m’arrivant au nombril, un petit short en jean délavé et mes baskets. Je m’étais vêtue ainsi, sans aucune arrière-pensée, je ne m’étais pas rendu compte que j’étais aussi sexy. À 37 ? printemps, n’ayant jamais porter d’enfant et ayant toujours pris soin de moi et de ma peau, mon corps était celui d’une jeune femme d’à peine 30 ans qui ne le sera plus après mon accouchement.
    
    Devant finir le chargement puis prendre la route au plus tôt, afin que les déménageurs puissent rentrer avant la nuit. Ce jour-là, ils sonnaient à ma porte à sept heures du matin, frais et dispo. M’étant levée et vêtue comme la veille avec mon mini short laissant voir la naissance de mes fesses, et top court et sexy, recouvrant mes seins gonflés, ayant les tétons poussant le tissu de mon petit haut, je m’étais aperçue que ces mecs devaient me prendre pour une petite salope. À 10h00 du matin, le camion était fermé prêt à partir, je devais me rendre à destination avec ma voiture. Au moment de partir, ayant très peu et mal dormi, probablement dû au stress et à mon état de femme enceinte, je ne me sentais pas très bien.
    
    M’ayant déjà vu vomir la veille, ...
    ... Jean-Pierre le patron me proposa : « Écoutez ma petite dame, il serait plus sage que vous montiez avec nous dans la cabine, mes fils : Denis conduira votre auto et le petit Serge sera son passager. Ne vous inquiétez pas, ils nous suivront. » Cet homme mûr avait raison, je ne me sentais pas capable de faire la route toute seule. Je pris donc place sur la banquette avant, entre Gaétan le conducteur du poids lourd et son patron. Dès le départ, ces deux gars s’étaient présentés, ils me parlaient sans cesse. Cependant, j’avais des difficultés à suivre la conversation, je me sentais très fatiguée.
    
    Depuis que j’avais appris ma grossesse, je n’osais plus faire l’amour avec un homme, j’appréhendais trop pour mon bébé. Je savais que c’était complètement ridicule. Ayant été élevée par un médecin, celui-ci m’avait fait, dès mon jeune âge, mon éducation sexuelle et bien plus car il m’avait fait découvrir le plaisir solitaire et était parvenu à me dépuceler. Enfin dix jours à me masturber afin de me soulager quelque peu, une belle verge bien dure, me pénétrant la fente me faisait rêver. Ce fut le cas ce jour-là car après seulement quelques kilomètres, je m’étais endormie en pensant à ce que pourraient me faire ces quatre déménageurs en arrivant.
    
    En fait, lorsque je m’étais réveillée, j’étais toute trempée, mon string était à tordre et je ne m’étais assoupie qu’un quart d’heure lorsque le camion s’arrêta sur le bas-côté de la route : « Tu serais bien mieux à l’arrière pour dormir. » Me ...
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