1. « Josy » : La petite salope et les déménageurs Épisode 29


    Datte: 31/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... n’avais à peine récupéré que déjà le gamin présentait, devant mon trou étoilé, sa verge gainée de latex, prête à exploser tellement elle était raide et dure. Je ne pouvais plus refuser, il allait et venait dans mon rectum tel un lapin. Ayant terminé leur tâche et en attendant mes cris de joie, Jean-Pierre et Gaétan nous rejoignirent dans la chambre où les deux frères se relayaient pour prendre mon cul. Excités par cette scène, les deux plus âgés désirant participer à cette orgie, se branlèrent avant de mettre leur capuchon.
    
    Mon anus n’avait pas le temps de se refermer, le trou restait béant lorsque les quatre déménageurs échangeaient leur place. Pour moi, je ne pouvais plus jouir, j’étais devenue qu’une poupée se faisant enculer. Si je ne prenais plus de plaisir, je ne ressentais aucune douleur. J’aurais préféré qu’ils me prennent la chatte, mais je m’efforçais à ne pas le demander et ce n’était pas certains qu’ils acceptent. Toutefois quand ce fut Gaétan à son quatrième passage, avec sa bite plus épaisse, qui me sodomisait et que Denis me baisait la chatte avec ses doigts, que Serge me malaxait les seins et que je suçais Jean-Pierre, je jouis une énième fois.
    
    Après un long moment, je fus prise à plusieurs reprises en double anale. Épuisée, allongée à plat ventre sur le matelas, les quatre types n’en pouvant plus se finirent en éjaculant à tour de rôle sur le visage pour le père et Gaétan, le ventre pour l’ainé, ma poitrine fut réservée au plus jeune :— Ça y est Serge ...
    ... te voilà dépucelé. Dit Jean-Pierre à son gamin.
    
    Très satisfaits et soulagés, ces quatre professionnels terminèrent avec entrain ce déménagement hors du commun. Selon leurs propos, il semblerait qu’ils n’avaient jamais connu une cliente aussi coquine et vorace que moi. Tout ce petit monde était parti la queue en berne, vers 21 heures après avoir bu leur dernière bière. Une fois seule en finissant de ranger ma cuisine, je réalisais que ces quatre malabars m’avaient défoncée le cul, j’avais quelques difficultés à marcher. Pourquoi étais-je toujours ainsi ? Me demandais-je. Pourtant quelques jours tôt, je m’étais bien promise de ranger mon costume de petite salope, définitivement dans le placard.
    
    Cette nuit-là, étant très fatiguée de ma dure journée, j’avais quand même bien dormi. Cependant, de mon réveil jusqu’à la fin de mon footing, j’avais toujours l’anus irrité. Ce ne fut qu’après la douche lorsque je m’étais enduite l’anus de crème que mes petites brûlures disparurent. Pendant la première semaine, je n’avais vraiment pas eu le temps de m’ennuyer, il avait fallu tout ranger et aménager l’intérieur. Heureusement que mon père Bebel était menuisier ébéniste, il m’avait aménagé pendant ses vacances d’été, un grand dressing dans ma chambre, des placards à l’entrée et dans les deux chambres d’amis, sans compter les jolies boiseries décoratives.
    
    Cette maison neuve de plus de 120 m2, entièrement de plain-pied avec le garage accolé, me plaisait beaucoup. Si ma cuisine était ...
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