1. Poils


    Datte: 30/10/2024, Catégories: fh, jeunes, poilu(e)s, fépilée, fête, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral 69, pénétratio, délire, Humour amouroman, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... intrigué.
    
    Elle s’isole dans le cabinet de toilette, où je l’entends marronner.
    
    — Tu as promis… juré ?
    — Oui, promis/juré/craché par terre, croix de bois croix de fer… etc.
    
    Elle se fait attendre comme une diva.
    
    Gwendoline est une très belle jeune femme, à la plastique parfaite. Nul doute qu’elle sera une des favorites de cette élection, et certainement de Miss France. Je ne suis pas impartial, je l’avoue, car Gwen est mon amie. Elle n’est pas seulement belle, mais aussi intelligente et dotée d’un sens de l’humour ravageur.
    
    Mais de la voir apparaître devant moi en maillot de bain bleu ciel me fait quelque chose au cœur. Un joli maillot deux-pièces. Sublime… à part un petit détail. Je ne peux m’empêcher de pouffer.
    
    — Pfff,
    — Tu avais promis !
    
    Puis de rire comme une baleine.
    
    — Hiiii ! Houuuuu ! Hahaha !
    — Si c’est ça, je m’en vais, dit-elle, des sanglots dans la voix et en se retournant.
    — Non, attends, c’est juste que je suis surpris.
    
    De la tête au nombril, c’est juste fabuleux. Des orteils aux cuisses, aussi. Mais alors le bassin !
    
    De son bas de maillot jaillissent des poils noirs, très denses et très longs. Ils sortent de partout, par le haut, ils atteignent le milieu de son abdomen, menacent d’encercler le nombril. Ils débordent aussi sur les côtés, épais, compacts, ils envahissent le haut des cuisses. Une véritable marée noire. Je peux même les deviner à travers le tissu du slip de bain.
    
    Je pleure de rire. C’est la première fois depuis ...
    ... l’adolescence que je la voie en si petite tenue.
    
    — Je savais que c’était une mauvaise idée.
    — Non, attends, pff ! Tu me surprends là. Hi hi. Je ne vois pas en quoi je peux t’aider…
    — Je ne peux pas défiler ainsi, ta réaction en est la preuve.
    — Ouiii, ha ha ! dis-je en me tenant le ventre.
    
    Cette énorme touffe de poils sortant de son maillot tranchant sur sa peau blanche me plie en deux.
    
    — Je voudrais que tu me rases.
    — Hein ? (Là, je ne me marre plus du tout) Je te signale qu’il existe des esthéticiennes pour faire ce boulot.
    — Non, ça va me coûter une fortune, et en plus elles vont y aller à la cire, ça fait mal.
    — C’est vrai que là, il faut que tu fasses faire un devis, utiliser du matériel lourd, installer un échafaudage.
    
    Je me tais en voyant son regard noir.
    
    — Tu peux demander à une amie…
    — Pour me faire foutre de moi, je vois bien ta réaction. Puis elle va aller raconter ça partout, je vais devenir la risée du campus, sans oublier les tordus, les obsédés que ça va attirer. Et même me retrouver sur internet parce qu’un ou une abrutie va prendre quelques photos. Mais pas question non plus que j’abandonne.
    
    Elle n’a pas tort. Mais je ne vois pas ce que je viens faire dans cette histoire, ce n’est pas un boulot pour moi.
    
    — Il doit bien exister des produits pour dépoiler, un peu comme un désherbant…
    
    Nouveau regard sombre. « Je suis allergique, ma peau devient rouge ».
    
    — En fait, tu es mon seul espoir. Le seul en qui j’ai confiance.
    — Ta maman ...
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