1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (3).


    Datte: 26/10/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... plait ? Dis à Philippe comment tu la trouves !
    
    • Oh Philippe, mon chéri. Il est monté comme un âne. Ma main ne suffit pas à faire le tour de sa tige. Ses couilles sont lourdes, pleines de semence pour me remplir.
    
    • Tu n’es pas là pour me branler, petite garce ! Suce !
    
    Je m’exécute, le prenant le plus au fond de ma bouche que je le peux, serrant mes lèvres autour de la tige, taquinant le gland avec ma langue. Je m’interromps brièvement pour gober les lourdes couilles. En connaisseuse, je sais qu’elles sont pleines de semence.
    
    • Tu avais raison, Philippe. C’est vraiment une experte !
    
    Luigi veut reprendre le contrôle. Il transforme la fellation en coït buccal, m’imposant une gorge profonde. Les larmes me coulent, je manque de m’étouffer mais parviens à réprimer les nausées. Luigi continue, ça dure de longues minutes car il réussit à repousser son éjaculation. Pour Philippe, Luigi commente ce qu’il ressent, me traite de salope, de chienne, de cochonne.
    
    Un moment, on frappe à la porte, un homme qui voulait sans doute se servir de cette cabine de toilettes.
    
    • Cosa sta succedendo qui? (“Qu’est ce qui se passe ici?”)
    
    • È occupato! Sto ricevendo un pompino da una troia! (“C'est occupé! Je suis en train de me faire tailler une pipe par une salope!”)
    
    • Capito: sono i francesi! Sfrutta al meglio! (“J'ai compris: c'est la Française! Profites-en bien!”)
    
    Luigi prend ma tête entre les mains et m’impose un rythme d’enfer. Luigi continuait jusqu’au moment où il ...
    ... fallait que je puisse reprendre son souffle. Je mettais un point d’honneur à ne pas lâcher prise.
    
    Je serre bien mes lèvres autour de la hampe. Ma bouche est un fourreau parfait pour cette magnifique queue.
    
    • SÌ! Ancora! Succhiami il cazzo! È divino! (“Oui! Encore! Suce ma bite! C'est divin!”)
    
    Luigi se rappelle qu’il avait promis à Philippe de tout dire de ses sensations.
    
    • Pardon, Philippe, j’avais dit que je te dirai ce que je ressens et donc que je m’exprimerai en Français. Mais je sais que tu connais les talents d’Olga.
    
    Philippe, le téléphone à l’oreille, ne perd rien de ce qu’il entend. Dans la salle à manger, il y a les serveurs et quelques clients, il ne peut évidemment pas mettre le haut-parleur et il ne peut se caresser, alors qu’il bande à mort. Il n’entend que mes bruits de bouche et les commentaires de Luigi. Mais, oui, il connait, car chaque matin je le réveille en le gratifiant d’une fellation.
    
    • Tu m’as dit que tu la compares à la reine Cléopâtre. Moi, je trouve qu’elle dépasse la réputation des femmes de Bologne. Oh que c’est bon ! Jamais je n’ai été sucé comme ça !
    
    Les femmes de Bologne sont en effet réputées être les meilleures fellatrices d’Italie. Tous ces compliments m’encouragent à me concentrer pour que mon amant rende les armes. Et vient le moment où la résistance de Luigi ne peut plus durer.
    
    • Je vais venir. Je vais me vider dans ta bouche et tu vas tout avaler, jusqu’à la dernière goutte !
    
    Il n’avait pas besoin de l’exiger, ...
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