Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (3).
Datte: 26/10/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... rapidement, conséquence de la tension sexuelle de ces deux derniers jours. Comment vais-je parvenir à ne pas exprimer mon plaisir, moi qui suis habituellement très vocale dans l’expression de mon plaisir ? Mon visage exprime ce que je ressens. Je ferme les yeux, la sueur coule de mon front, mes traits sont déformés, exprimant un plaisir qui est aussi une souffrance, tellement il est fort. Je prends la main de Philippe, qui est face à moi et lui écrase les doigts à chaque fois que je jouis, alors que mes orgasmes s’enchainent crescendo. Luigi ne me ménage pas : c’est maintenant trois doigts que j’ai dans ma chatte.
Je gémis, parvenant je ne sais comment à me contenir tant bien que mal :
• La prochaine fois, dans un endroit plus pratique, je lui mets toute ma main jusqu’au poignet !
• Et tu arriveras sans problème, elle adore ça !
Les deux hommes sont sans pitié et veulent ma capitulation. Un moment, mes barrages cèdent, je ne peux plus me contenter de discrets gémissements. Je cris, je hurle mon plaisir, sans retenue :
• Sì, Luigi, avanti ancora! Masturbami. Metti le dita! Oh che buono! SÌ!!!!!! (“Oui,
Luigi, vas-y, encore! Branle-moi. Enfonce tes doigts! Oh que c'est bon! Oui!!!!!!”)
Telle fut ma première jouissance avec Luigi. Celui ressort ses doigts de ma chatte. Ils sont couverts de mouille. Il les approche de ma bouche, pour que je les nettoie soigneusement. Ensuite il m’embrasse longuement sur la bouche. Reprenant pied et surmontant ma honte de ...
... m’être ainsi exhibée, je me lève pour embrasser Philippe et lui dire « merci ». Il me répond que c’était beau et fort.
A cette heure relativement avancée pour le déjeuner, la salle n’est pas pleine. Mais nul ne peut ignorer ce que nous venons de faire. Le serveur est ironique au moment de prendre la commande :
• Bene signora, sembra che sia stato buono! (“Et bien Madame, il semble que c'était bon!”)
• Ne aveva bisogno! (“Elle en avait besoin”), répond avec un sourire Luigi.
Le déjeuner qui suit est copieux et succulent. J’ai dévoré un plat de « spaghetti alle vogonle » et j’ai apprécié le succulent Pinot Grigio du Frioul choisi par Luigi. L’alcool et le temps faisant son effet, ma libido, sans surprises, se réveillait.
• Si nous retournions à l’hôtel. Luigi, s’il te plait, j’ai envie que tu me baises. Dis-oui ! S’il te plait !
• Tu vois bien qu’elle n’en peut plus. Ne sois pas cruel. Et ne dis pas que tu n’en n’as pas envie, toi aussi.
• Je répète que nous devons nous en tenir à notre programme. Bien sûr que j’ai envie d’elle. Ne t’inquiète pas, tu verras ce soir, je vais la démonter, ta salope. Mais il est vrai que j’ai aussi besoin d’être soulagé. Lors de nos discussions, Philippe, tu m’as souvent dit qu’Olga est une pipeuse exceptionnelle. J’ai envie de vérifier ça tout de suite.
• Oui, je compare souvent Olga à la reine Cléopâtre, que l’on surnommait « bouche d’or », du fait de ses talents de fellatrice.
Luigi s’adresse à moi, exprimant ses désirs ...