Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (3).
Datte: 26/10/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... ou plutôt ses ordres, à voix haute, pour qu’autour on comprenne ce qui va se passer :
• Vai nel seminterrato, mia putana! Aspettami nel bagno degli uomini. Scegli la grande cabina a destra. Ti incontrerò. Mi succhierai il cazzo (“Vas au sous-sol, ma putain!. Attendez-moi dans les toilettes pour hommes. Choisissez la grande cabine à droite. Je te rencontrerai. Tu vas me sucer la bite”)
Je lui obéis immédiatement et me lève. Philippe n’a pas été consulté. Je sais qu’il ne s’opposera pas. Il dit toutefois à Luigi :
• C’est dommage, j’aurais aimé voir ça !
• Je comprends. A défaut de voir, tu pourras au moins entendre. Olga, prends ton téléphone quand tu seras dans la cabine tu appelleras Philippe et je commenterai ta prestation en temps réel.
Le fait que Luigi me suive immédiatement ne laissa pas de doute aux serveurs et convives qui s’intéressaient à notre étrange trio. L’un des serveurs s’adresse à Luigi :
• Vuoi scopare quella troia in bagno? (“Tu vas baiser cette salope aux toilettes?”)
• No, la scoperò stasera davanti a suo marito. Ora voglio solo dargli da mangiare le mie palle (“Non, je la niquerai ce soir devant son mari. Maintenant j'ai juste envie de lui faire bouffer mes couilles”).
***
Je pénètre dans les toilettes des hommes. Heureusement, je ne croise personne. Comme l’avait demandé Luigi, j’entre dans la cabine de droite. Il me semble que Luigi n’a pas choisi ce restaurant au hasard. Les toilettes sont à la fois propres et plutôt ...
... spacieuses. Par précaution, je verrouille, en attendant l’arrivée de mon mâle. Si j’avais eu à choisir, j’aurais préféré baiser, car mon envie est si forte, à la limite du supportable.
Je me suis déjà livrée à toutes sortes d’ébats dans des toilettes de restaurant, de cinéma, de trains. Et pourtant, j’ai rarement été aussi excitée. Certains lecteurs seront peut-être surpris, voir choqués par ma soumission. C’est tout simplement que, dans ces moments, j’en oublie mon féminisme et ne suis plus qu’une femelle, à la disposition du mâle. Mon téléphone est en mode haut-parleur pour que Philippe, à défaut de voir, puisse tout entendre.
La poignée de la porte s’abaisse. Luigi est agacé :
• Ouvre ! Je ne t’ai pas autorisé à fermer !
• J’avais peur de l’arrivée d’un autre. Je veux me réserver pour toi.
• Il est vrai que tu es tellement en chaleur que n’importe quel type pourrait te satisfaire.
Je tente d’embrasser Luigi. Il me repousse.
• Nous ne sommes pas là pour ça. Tu es ici pour me vider les couilles !
• C’est bien mon intention. Luigi, je t’en supplie, prends-moi, baise-moi, je ne peux plus attendre
• Je répète une dernière fois : c’est moi qui décide. Et pour le moment, c’est de ta bouche dont j’ai envie. A genoux ! Sors-la ! Dépêche-toi !
Je desserre sa ceinture, ouvre la fermeture éclair et sors sa queue. L’érection de Luigi est maximale. Je commence à le branler doucement. Nous échangeons un regard où j’exprime désir et soumission.
• Alors elle te ...