1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (3).


    Datte: 26/10/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... seulement celui-ci, avec sa fine barbe, ses yeux sombres, sa grande taille, ses muscles, sa virilité, était beau comme un Dieu, mais je fus très vite fascinée par sa conversation, sa culture, sa connaissance autour de notre passion commune pour la Rome Antique. Bref, j’eus le coup de foudre, ce qui ne m’était pas arrivée depuis que j’avais fait la funeste rencontre de N, sept ans auparavant. Je pensais être « immunisée ». Ce n’était pas le cas. Pire, Luigi était plus que troublé par moi. Il avait vu les photos et avait envie de moi. Mais lui aussi, il le reconnut, fut fasciné par nos échanges. Je n’ai ni son parcours, ni ses connaissances, mais l’histoire est ma passion et j’ai beaucoup travaillé celle de la Rome impériale pour mes écrits.
    
    Alors que, avant ce voyage, nous ne nous connaissions pas, nous nous comportions comme un couple. Je veux être honnête : si Luigi l’avait demandé, je l’aurais suivi, prête à retomber dans mes errements du passé. Heureusement Luigi est un homme d’honneur. Malgré son attirance pour moi, il n’a pas voulu profiter de la situation. Nous étions tous les trois dans une impasse : Luigi et moi terriblement frustrés, car nous avions follement envie l’un de l’autre, Philippe, qui pensait renouer avec notre candaulisme, se rendait compte qu’il avait ouvert la boite de Pandore.
    
    C’est Philippe qui fit en sorte de revenir au schéma initialement prévu. Ca ne devait être que du sexe et rien d’autre.
    
    ***
    
    Ce matin-là, je fus prête la première. Je ...
    ... mis un chemisier échancré beige, sous lequel on devinait que je ne portais pas de soutien-gorge. Je choisis aussi une jupe pas trop serrée, mais assez sage, sous laquelle je portais un string. Et un chapeau de paille et une bonne paire de baskets pour une marche assez longue, sous le soleil raisonnable de cette journée de mai.
    
    Philippe n’est pas très rapide pour se préparer. Impatiente, je décidais de ne pas l’attendre et de descendre aux salons de l’hôtel, où Luigi nous attendait pour que nous prenions ensemble le petit déjeuner.
    
    Je suis restée un moment figée quand je l’ai vu. Luigi affichait son plus beau sourire. Nous échangeâmes un regard plein de promesses sur cette journée qui nous attendait. Nous savions que nous allions enfin nous aimer. Je sentis mon intimité s’humidifier et mes tétons en érection sous mon chemisier. Ma libido s’était immédiatement réveillée.
    
    Il s’est levé et je me suis précipitée dans ses bras.
    
    • Buongiorno Signora
    
    • Grazie a te ea Philippe per avermelo concesso. Avrei voluto di più, ma sarebbe una follia (“Merci à toi et à Philippe de ce vous m'accordez. J'aurais voulu davantage, mais ce serait une folie”)
    
    Le regard de Luigi était à la fois doux et empreint de fermeté. Philippe venait d’arriver et observait, silencieux. Luigi me répondit, en Français :
    
    • Oui cela aurait été une folie. Et même si moi aussi j’aurais voulu davantage, contentons-nous de ce que la vie nous accorde pour ces quelques jours. Je suis un homme d’honneur ...
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