1. Enquête bretonne 2


    Datte: 24/10/2024, Catégories: fh, médical, amour, Oral policier, Auteur: Volovent, Source: Revebebe

    ... devrait y trouver des petites choses sympas. Je suis quand même un peu déconfit ; trimbaler une jolie fille et ne pas pouvoir l’habiller avant de la déshabiller, c’est la honte.
    
    Après avoir acheté nos sandwichs, nous sommes allés les déguster sur un banc de la place de Furstemberg, où un « Américain » a voulu nous prendre en photo en train de nous embrasser. Le mythe Doisneau a la vie dure. Enfin, doucement, tranquillement, nous sommes arrivés sur les quais par les Grands Augustins. Nous avons commencé par là où je finis d’habitude : les boutiques de partitions. Je n’y connais rien en musique, mais j’aime bien consulter ces brochures magiques qui me font rêver. Patricia joue un peu de piano, alors elle plonge là-dedans avec un air affamé. Une heure ! nous sommes restés une heure dans la boutique, sans rien acheter. Pauvres commerçants, quelle patience, quand même ! Enfin, nous avons fait les bouquinistes « à l’envers » en remontant jusqu’à la tour d’Argent. Nous commencions à avoir un peu mal aux pattes, alors je l’ai entraînée dans un Ciné-Club de la rue des Écoles voir un « Marx Brothers ». On ne peut pas se tromper, cela fait au moins vingt ans qu’ils jouent leurs films en alternance, tous les jours du premier janvier au 31 décembre. Nous avons eu droit à « Plumes de Cheval », et nos mollets nous ont dit merci.
    
    Bien détendus et reposés, nous sommes revenus à l’Odéon puis Sèvres-Babylone d’où le 39 nous a ramenés tranquillement à la Mairie du XV.
    
    J’avais envie ...
    ... d’elle depuis ce matin où elle s’était précipitée nue dans mes bras. Alors j’ai pris ma grosse voix(genre John Wayne quand il s’adresse aux méchants dans Rio Bravo) :
    
    — Déshabille-toi !
    — Attends que je mette mes escarpins, j’ai envie.
    
    Pourquoi ça ne marche jamais quand je veux faire le méchant ?
    
    — Comment me trouves-tu ?
    — Déshabille-toi et je pourrai te répondre.
    — Cochon ! Je parle de mes escarpins. Est-ce qu’ils me vont bien ?
    — On dirait qu’ils ont été faits pour toi et moulés sur tes petits pieds mignons !
    — Tu es un idiot-bête.
    
    Elle reste un moment debout sur ses escarpins, rougit, se déshabille avec grâce, remet ses escarpins et se tourne vers moi.
    
    — Tu me prendrais avec mes escarpins ?
    
    Je me déshabille(sans aucune grâce). Elle se précipite dans mes bras.
    
    — Je te prendrais n’importe où, n’importe quand, n’importe comment et avec n’importe quel accessoire.
    — Jean, Jean… j’ai l’impression d’être bête quand tu es là. Je fais n’importe quoi, je dis n’importe quoi et je suis heureuse. Serre-moi fort. J’ai envie de ta queue. Je la sens contre mon ventre, elle est trop grosse.
    
    Elle se laisse glisser le long de mon corps jusqu’à l’objet désiré et commence doucement la lubrification. Pour l’instant, je la laisse faire, c’est vraiment très agréable, mais j’ai tellement envie d’elle que je crois que je vais la violer dans les secondes qui suivent.
    
    — Patricia ! j’ai envie de toi, de tes lèvres, de ton ventre…
    — C’est tout ?
    — Patricia…
    
    Je la ...
«12...161718...23»