1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1555)


    Datte: 20/10/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... allure. A grandes enjambées, il s’approchait de moi. A ma hauteur, sans un mot, il attrapait ma chevelure et m’entrainait ainsi courbé, plié en deux, jusqu’à son bureau, me faisant monter les escaliers quatre à quatre. Toujours tenu de cette manière, dans la même posture, il m’ordonnait :
    
    - Fous-toi à poil, salope, dépêche-toi !
    
    Il me fallait être un peu acrobate pour me dévêtir ainsi, penché en avant, mon nez à quelques centimètres de la braguette de ce pervers Dominant… Je me débattais avec les lacets de mes chaussures, parvenait à les ôter, non sans mal ainsi que mes chaussettes, alors que j’étais malmené, maintenu fermement par ma tignasse.
    
    - Sens ma bite, hume-la, respire-la, tu la veux ma bite, répond le chien !
    
    - Oui Monsieur, j’espère votre bite !
    
    - Tu la souhaites où ?, dis-moi, la pute.
    
    - Dans ma bouche et dans mon cul, Monsieur, répondis-je en quittant enfin mon jean et mon slip !
    
    - Et en plus gourmand ! Dans ta bouche et dans ton cul, tu n’es vraiment qu’une sale petite pute !
    
    J’étais nu… et à genoux devant une vulve se faisant doigter… La secrétaire était suspendue, attachée par les mains à des crochets fixés au plafond, ses pointes de pieds touchant à peine le sol, les cuisses maintenues ...
    ... largement écartées par une barre métallique allant d’une cheville à l’autre. Monsieur le Marquis visitait sa chatte, Ses doigts glissaient sur sa fente, écartaient les grandes et petites lèvres, Son majeur perquisitionnait et investissait cet orifice gluant.
    
    - Elle est en chaleur cette chienne, elle mouille tant et plus !, constatait le Châtelain tout en la doigtant profondément et vivement, faisant aller et venir Ses longs doigts profondément et de vive allure…
    
    Monsieur le Marquis me tendait ensuite Ses doigts, tout juste sortis de cette intimité trempée, j’ouvrais la bouche, comme par instinct, sans que j’en reçoive l’ordre, je les léchais, alors que Martial Montambert exigeait que je me mette à quatre pattes.
    
    - Cambre ton cul, la pute !, m’ordonnait-il.
    
    A cet instant, Monsieur le Marquis sortait Son sexe tendu à l’extrême de Son pantalon. Il me l’enfilait direct dans la bouche.
    
    - Prépare-moi bien, petite putain !… Dépose ta salive sur ma queue, car je vais embrocher cette garce de salope sans aucune autre préparation. Regarde ! Sa chatte trempée ne demande qu’une seule chose, qu’on la prenne sans modération…
    
    Alors que je suçais le Maître, je sentais un doigt lubrifier et pénétrer mon anus…
    
    (A suivre…) 
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