1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1555)


    Datte: 20/10/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... de chasteté… « Les coquins !... mais après tout pas si coquins que ça, car je ne pourrais jamais leur reprocher d’avoir vécu leur propre Nature servile », pensais-je tout haut. Je sursautais soudainement de peur lorsque mon téléphone se mit à sonner, comme si j’étais en train d’enfreindre ou de transgresser l’intimité de feu mes parents…
    
    - Je vous présente mes respects, Maître- Bonsoir salope, demain matin à 6 heures, tu m’attendras devant les grilles du Château.
    
    - A Vos Exigences, Maître.
    
    - Tu me conduiras à l’entreprise Kinet Export, sur ce, bonne nuit, Ma putain !
    
    Le Châtelain avait déjà raccroché. Je regagnais ma chambre, prenais une douche, me couchais... Au petit matin, lorsque le réveil sonna, il m’était bien difficile de dire si j’avais bien dormi ou pas… Je pris mon petit-déjeuner en vitesse, me lavais une nouvelle fois, m’habillais et partais. Sur la route me conduisant au Château, j’avais ce ressenti me rappelant mes rentrées scolaires, avec cette sensation physique désagréable, stressé avec la boule au ventre... Pendant plus d’un quart d’heure, devant la lourde grille du Château, j’attendais Monsieur le Marquis. Lorsqu’il m’apparut, je me précipitais pour lui ouvrir la portière et me prosterner ensuite.
    
    - Aller zou, lève toi Mon chien !, on file ! Je t’autorise juste à embrasser rapidement le bout de Ma chaussure et en route !
    
    Je ne me fis pas prier pour envoyer un sincère baiser sur le cuir de sa chaussure brillante et parfaitement bien cirée… ...
    ... Durant tout le trajet, le Noble, élégamment vêtu d’un magnifique costume gris anthracite, d’une parfaite chemise blanche, d’une cravate bordeaux nouée impeccablement, ne m’adressa pas la parole. A voir Son costume, il m’aurait fallu des mois et des mois de travail pour me l’offrir !… Lorsqu’on arriva dans les bureaux de l’Entreprise, il m’ordonnait de rester dans un coin et d’attendre sagement et tranquillement, alors que Lui montait les escaliers en colimaçon. De là où j’étais, il m’était possible de voir le bureau dans lequel j’avais passé mon entretien, la veille. Celui-ci était éclairé, porte fermée. Lorsque le Maître y entrait, une voix connue, celle de Martial Montambert résonnait.
    
    - Donne-toi salope, mieux que ça !, entendis-je subitement
    
    Des cris s’en suivaient… Peut-être sciemment, Monsieur le Marquis, après être entré, avait laissé cette porte entrouverte. J’entendais le claquement d’un fouet puis encore les cris d’une femme… Était-ce la secrétaire qui se faisait flageller ? J’entendais encore :
    
    - Cette garce de salope ne progresse pas suffisamment vite, il va falloir que je Vous l’envoie une nouvelle fois en stage, Monsieur le Marquis.
    
    - Avec grand plaisir !, rétorquait le Châtelain.
    
    Autre claquement de fouet, autre cri… encore un …, autre jérémiade !
    
    - Tends ton cul, chienne, offre-le à cette lanière !, exigeait le Maître.
    
    Monsieur le Marquis avait pris les commandes alors que Martial Montambert sortait du bureau, dévalait les escaliers à toute ...