Brandi et le valet de pique
Datte: 20/10/2024,
Catégories:
fh,
couleurs,
médical,
grossexe,
grosseins,
fépilée,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
vengeance,
préservati,
pénétratio,
Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe
... lien par mail à madame Rodriguez.
Sous la douche, Brandi attache ses cheveux en chignon et caresse son sexe lisse. Elle ne peut s’empêcher d’apprécier le souvenir de cette trompe nerveuse qui faillit lui échapper des doigts. La lourdeur du membre faisait frissonner son bas-ventre, elle se retourna et colla sa poitrine contre le verre glacé, sa main descendit vers sa fente bouillante et son doigt s’activa sur sa crête charnue, mais elle décida que ce n’était pas un lieu pour se masturber.
En tenue d’Ève, rafraîchie, elle ferma le volet roulant de sa chambre et se glissa sous l’épaisse couette.
Au milieu de la nuit, un bruit réveille Brandi. Lourdement endormie, les paupières peinant à s’ouvrir, elle dirige sa main vers le chevet pour attraper son téléphone : trois heures du matin !
Elle s’assied sur le bord de son lit, ses petits doigts de pieds peints bataillent avec les chaussons, quand soudain, la sonnerie de l’interphone brise le silence.
Sa voix laissant échapper la contrariété, elle se dresse sur ses pieds nus, enfile son kimono court sans le boucler et place son téléphone dans la poche. Elle accélère le pas dans le couloir et descend les marches en réalisant que le silence est de nouveau présent. Elle s’approche de l’interphone et libère sa colère.
— Vous avez vu l’heure ? Vous n’êtes pas bien ?
Sur l’écran de contrôle donnant sur le trottoir, elle reconnut le docteur Planck. Il se précipite devant la caméra.
— Brandi, je n’en peux plus de ...
... notre querelle.
— Comment ? Vous êtes un con, ça me suffit !
— Non, s’il vous plaît !
— Partez ! Vous n’avez rien à faire ici.
Nerveuse, ses doigts détaillent son chignon haut, lorsque soudain, l’image du docteur Planck disparaît de l’objectif.
— C’est quoi ça ?
Brandi vérifie que sa porte est verrouillée, que les volets du salon sont baissés et elle sort son téléphone de sa poche pour consulter ses contacts et s’arrête sur un nom : Capitaine Anne Lyse Knudsen.
Dans le hall d’entrée, la doctoresse relève la tête et marche jusqu’à un vieux guéridon pour vérifier dans le tiroir la présence d’une bombe lacrymogène.
Soudain, quelqu’un tambourine contre la lourde porte : le bruit sourd glace le sang de Brandi.
— Ouvrez-moi ! Il faut que nous parlions.
— Partez ou j’appelle la police !
— Nous ne pouvons pas rester sur ce malentendu. Ma femme part pour la semaine : passez ce soir à la maison, nous dînerons et repartirons de zéro.
— Je n’ai pas envie de repartir à zéro. Sortez de ma vie !
La femme médecin s’adosse contre la porte et elle glisse son téléphone au fond de sa poche. Son kimono entrouvert sur son corps, son ventre musclé et son sexe lisse ; d’un mouvement d’épaules, elle contraint le bout de tissu à glisser vers le sol.
Quel plan machiavélique avait-elle en tête ? Elle fait un pas et se retourne face à la porte, elle pose ses doigts sur la clé.
— Dites-moi que vous êtes d’accord, Brandi ! Ce soir, chez moi à vingt heures ?
— C’est d’accord ! ...