1. Brandi et le valet de pique


    Datte: 20/10/2024, Catégories: fh, couleurs, médical, grossexe, grosseins, fépilée, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, vengeance, préservati, pénétratio, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe

    ... vraiment dommage que vous soyez gay…
    — Je suis bisexuelle, docteur Weiss ! Mais ça doit être une véritable torture que je ne vous tombe pas dans les bras.
    
    Brandi quitta le docteur Weiss qui n’en rajouta pas.
    
    Cette seconde anomalie de la journée perturbait Brandi, mais pas suffisamment pour lui faire passer un désagréable moment en compagnie de femmes plus hautes en couleur.
    
    Brandi esquissait les contours de sa revanche sur Paul Planck. Il se tenait là-bas, deux tables les séparaient, il avait cette insensibilité qui caractérise les hommes qui trompent leurs femmes. Pour trouver cette victime, il fallait déplacer le regard vers son épouse qui le collait de trop prêt. Elle avait s’en doute concéder une partie de sa fierté en échange d’un bon compte en banque, mais nulle femme ne voulait d’une humiliation continue.
    
    Après la première salve de départs, vers minuit, tout le reste des invités se rassemble au vestiaire. Brandi reste à l’affût et guette le moment opportun pour laver son honneur auprès du docteur Planck. Pendant un long instant, elle se demande s’il s’agit bien du même homme tellement il semblait étranger à ce qui s’était passé dans son cabinet.
    
    Paul avance vers elle et croise enfin son regard, son visage s’illumine brièvement, avant de déchanter.
    
    Embarrassé, il s’approche seul.
    
    Les doigts de Paul s’enroulent sur le bras de Brandi qui s’en libère vigoureusement.
    
    — Je ne sais pas ce qui me retient de vous gifler.
    — Je suis navré pour ce matin. ...
    ... Maxime ne m’avait pas dit que vous viendriez.
    — Et cela aurait changé quoi si je n’étais pas venue ? Vous n’assumez pas vos actes ?
    
    Les premiers regards se portent sur l’emportement des deux praticiens et Paul décide de se taire, avant que son épouse ne vienne le coller et le faire sortir de ses rêveries.
    
    — La voiture nous attend, chéri.
    — Vingt mille euros ! C’est une belle somme, docteur Planck ! Félicitations !
    
    Barbie tourne la tête vers son mari, les sourcils froncés et elle le repousse.
    
    — Tu joues encore ?
    
    La main de Brandi s’élève et atterrit fermement sur la joue de l’insolent, le claquement le fait reculer sous les regards. Sa femme l’abandonne.
    
    — Mais vous êtes folle : pourquoi avez-vous fait cela ?
    — Je ne suis pas votre petite salope.
    
    Sur les regards, Brandi quitte le restaurant.
    
    Dans le taxi, son obsession était l’agacement d’être une nouvelle fois la victime d’un groupe d’hommes triomphants qui considéraient la femme comme un jouet.
    
    Dans sa propriété sécurisée, il est une heure du matin et la praticienne se détend, allongée sur l’un des deux canapés en vis-à-vis. Les talons de ses escarpins effleurent le cuir, avant que sa main ne saisisse la tablette posée sur la table basse. L’esprit absorbé, Brandi consulte son planning pour ce matin, ses mails et comme le sommeil ne vient pas, elle entame un shopping sur un site de luminaires. Tendance après tendance, finalement, son choix se porte sur une lampe de table galet dont elle envoie le ...
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