1. L'album photo d'Anne 2


    Datte: 17/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds

    ... nourriture manquait sur place. Même si des ravitaillements avaient eu lieu, il n’y avait pas de quoi nourrir 500 000 personnes.
    
    Tenez, les voilà. Je les ai photographiés devant leur tente.
    
    Après le repas, Terry a allumé un joint de marijuana. Je n’étais pas une consommatrice, même si dans notre appartement rue des Fossés Saint Bernard, il arrivait parfois, que des copains en ramenaient. J’y avais déjà goûté, on va dire.
    
    Nous étions bien à l’abri de la pluie, même à 500 mètres de la scène, nous entendions la musique. Ce que je vous raconte là, les enfants, même s’il y a prescription, c’est top secret, n’est-ce pas ?
    
    - Comme le reste Mamie !
    
    - Et ce n’est pas parce que je l’ai fait, que vous, vous pouvez le faire aujourd’hui ! C’était une autre époque. Les choses ont changées.
    
    -Oui, oui bien sûr Mamie ! Tu penses bien ! Bon, il s’est passé quoi après ? Je sens que ce n’est pas tout.
    
    - Il ne s’est rien passé de plus, après un moment, j’ai rejoint le préfabriqué où j’étais logée et j’ai dormi. Ce que j’ai fumé m’a assommée complètement. Si on ajoute la fatigue accumulée depuis ces derniers jours, je n’ai pas fait long feu !
    
    - C’est décevant presque !
    
    - Peut-être… Mais, c’est bien ce qui s’est passé.
    
    Même si j’ai avoué avoir goûté à la marijuana à mes petits-enfants, prétextant, une autre époque, je n’ai pas pu leur parler de l’amour libre. Et pourtant… Ce soir-là, je ne suis pas rentrée avant l’aube, je suis restée avec Karen et Terry.
    
    Ce qu’il ...
    ... s’est vraiment passé dans la tente ce soir-là, difficile d’en parler avec mes petits-enfants. C’est Terry d’abord qui m’a embrassé. Ce que j’avais fumé m’a désinhibé un peu, mais je jetais des regards fréquents à Karen. Elle nous regardait en souriant. D’abord très gênée, je me suis détendue au fur et à mesure. J’ai aussi évacué les restes de mes désillusions sentimentales récentes.
    
    Je me suis laissée aller de plus en plus. Les effets de la marijuana sûrement, j’ai fermé les yeux. Je ne me suis pas aperçue tout de suite que c’était Karen qui enlevait les boutons de ma tunique, et qui me caressait la poitrine. Quand j’ai rouvert les yeux et que je me suis rendue compte de ça, j’ai presque trouvé ça normal. Karen a remplacé Terry et m’a embrassée à son tour. Encore une première pour moi. Je n’avais même jamais imaginé encore que je pouvais embrasser une autre fille. J’ai trouvé ça très agréable. Mes sensations étaient exacerbées. Des mains me caressaient le corps, je ne savais pas trop à qui elles appartenaient. Mais peu importe finalement. Les barrières tombaient. Mes propres mains ont caressé les corps à leur tour. Celui de Karen, celui de Terry, indifféremment. Je me souviens encore 50 ans après, la perception que j’ai eue, de la douceur des seins de Karen, de son ventre. Je me souviens parfaitement quand Terry s’est écarté et nous a laissées toutes les deux. Nous nous sommes déshabillées. Mon premier orgasme de la soirée, c’est Karen qui me l’a apporté. Puis Terry nous a ...
«12...91011...»