1. Le Placier (suite)


    Datte: 16/10/2024, Catégories: fh, poilu(e)s, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, rencontre, sodo, Auteur: Micchel1954, Source: Revebebe

    ... dos, descend et plonge vers mon cul. Il m’embrasse, je sens sa langue s’infiltrer dans mon cul, c’est agréable. Il insiste, plonge le plus loin possible. Je me détends. Il se redresse.
    
    — Bon, allez Danielle, tu vas avoir mal, mais ça vas te faire du bien, c’est le paradoxe de la sodomie.
    — Non, dis-je dans un dernier effort de volonté.
    
    Mais déjà, je sens sa queue sur mon petit trou, il pousse un peu, je crie. Il se dégage, farfouille dans son pantalon. Je sens qu’il me met de la crème froide sur l’anus, y rentre un doigt, remet de la crème, essaie deux doigts, je ne sais plus quoi faire. Mon caractère indolent reprend le dessus : je n’ai pas le courage de lui dire fermement non.
    
    Et le voilà qui se remet à son ouvrage. Cette fois, c’est sérieux, il pousse, j’ai mal, je n’arrête pas de dire : « doucement, doucement ». Je me contracte.
    
    — Décontracte-toi, Danielle. Respire tranquillement, ça va passer.
    
    J’obéis et me laisse faire, je me sens déchirée. Je crie, il recule pour revenir de suite un peu plus fort, il ressort.
    
    — Respire, Danielle, respire fort, on y est presque.
    
    Il revient, je respire à fond, souffle, respire encore. Une douleur insupportable, il est dedans, je suis écartelée, il ne bouge plus.
    
    — Respire, Danielle, respire bien.
    
    La douleur s’amenuise et je sens son sexe s’enfoncer inexorablement dans mon fondement. Ses couilles frottent sur ma chatte, il ne bouge plus. La douleur s’estompe petit à petit ou je m’y habitue, je ne sais ...
    ... pas.
    
    Reprenant mon souffle, j’arrive à parler.
    
    — Putain, salaud, tu m’encules.
    — Oui, je t’encule. Ton petit cul est très fin, très bon, soyeux, tu es belle. Ça va, tu as moins mal ?
    — Oui, enfin, bof, c’est acceptable, mais c’est pas le pied.
    — Le pied, ça va venir… Je vais te défoncer, tu vas aimer, j’en suis sûr, je te connais.
    
    Et de ce moment, je ne répondrais plus de rien. Au début, ce fut très douloureux, insupportable et à un moment mon corps s’est cassé, mais mes reins maintenant se creusent. Relevant mes fesses, je m’ouvre, je m’offre, j’accepte la domination du mâle, je me soumets. Il le sent et commence à me défoncer en règle.
    
    — Dis-moi ce que je te fais, Danielle ?
    — Tu m’encules.
    — Et tu aimes ça, Danielle ?
    — Oui.
    — Dis-le !
    
    Et là, je me suis lâchée.
    
    — Putain, oui, c’est bon ! encule-moi Joseph, vas-y, pas de cadeau, pas de quartier, je suis à toi, prends tout ce que tu veux.
    
    Et là, le garçon, il ne m’a pas fait de cadeau. Bien qu’il ait déjà joui deux fois le matin, il tient la route. De mon côté, bah, je suis rentrée dans un autre monde, ou sortie de moi-même, des cris des pleurs, des onomatopées de toute sorte, je ne sais plus. Je me suis entendue crier encore, peut-être. Puis il s’est fiché en moi et m’a remplie.
    
    — Alors Danielle, c’est qui le frimeur ?
    — Salaud, tu m’as défoncée, mais je te pardonne, c’était bien.
    
    On va à la douche, il rigole, on se savonne de partout.
    
    On redescend, on reboit un café, on discute un peu, on ...
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