1. Le Placier (suite)


    Datte: 16/10/2024, Catégories: fh, poilu(e)s, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, rencontre, sodo, Auteur: Micchel1954, Source: Revebebe

    ... temps, il faut que tu en fasses la demande par écrit à Monsieur le Maire, les décisions vont se prendre d’ici peu et elles seront effectives au premier janvier.
    — Je vais le faire, c’est une bonne nouvelle.
    — Et puis, il y a autre chose, dit-il. Mon corps aurait bien envie de discuter avec le tien, si tu n’y vois pas d’objection, mais je reste clair sur mes positions, je ne parle pas d’amour.
    
    Une boule au ventre, je m’entends dire :
    
    — Hier, je ne sais plus ; aujourd’hui oui ; demain, c’est loin ! Ce serait mieux que tu mettes ta voiture derrière la maison pour qu’on ne la voit pas de la route.
    
    Il part ranger son auto, c’est à ce moment-là que je me regarde, réflexe féminin oblige, ce jogging éculé, cette chemise à carreaux sans forme, vite, me changer.
    
    À peine dans ma chambre, j’entends la porte de la maison.
    
    — C’est bon pour l’auto, tu es où ?
    — Monte, je suis dans la chambre.
    
    J’ai juste le temps de tout enlever et de me mettre nue dans le lit.
    
    Il me trouve dans le lit, il me sourit, se déshabille doucement, tranquillement… Et je le vois nu, incroyable comme il est velu, du poil noir dense partout. Je n’ai pas vu beaucoup d’hommes dans ma vie, mais là, un ours. Il ouvre le lit et se glisse sous la couette.
    
    On se serre l’un l’autre, le contact de ses poils sur mes seins, mon ventre, m’électrise, déjà je sens une moiteur entre mes jambes. On a le temps, on va prendre le temps, de petits bisous très doux qui en demandent d’autres, puis d’autres, puis ...
    ... des baisers, des caresses. Je le touche, le caresse. Je découvre cet homme, il me découvre, mon cou, mes seins, mon ventre, remonte, redescend, puis s’insinue vers mon bas-ventre, me force à écarter les jambes et plonge sa tête sur mon sexe. Instantanément, il trouve mon bouton et se met à le sucer, je deviens folle. Il me lape, me mange tout le sexe, les lèvres, le bouton. Je n’en peux plus, je me cabre et jouis.
    
    Je ne peux en rester là… à mon tour de jouer ! Je trouve son sexe déjà tendu, je l’embrasse, le gobe, descends lui lécher les bourses, à son tour de passer un sale quart d’heure. Il geint et grogne, je le tiens, il est à moi. Il râle, je sens qu’il va exploser, je me jette sur son sexe, l’enfourne totalement dans ma bouche. Il explose une fois, deux fois, trois fois et me remplit la bouche. C’est bon. Je remonte, on se regarde et rigole, on s’embrasse fougueusement, fusionnant nos sécrétions, je suis au paradis.
    
    On se blottit l’un contre l’autre, c’est le temps délicieux du repos… Il me caresse les fesses doucement, je lui caresse les reins. Tout est calme, tranquille, le brouillard complice resserre de plus en plus la maison.
    
    Au bout d’un moment, Joseph bouge un peu, se met sur le dos et dit :
    
    — J’ai un truc qui me démange là, en désignant son entrejambe.
    
    J’y mets la main.
    
    — Non, rétorqué-je, rieuse, juste un truc tout mou, flasque.
    
    Il se retourna sur moi, se cale entre mes jambes en riant.
    
    — Tu vas voir le truc tout mou, flasque, ce qu’il ...
«1234...»