Le Placier (suite)
Datte: 16/10/2024,
Catégories:
fh,
poilu(e)s,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
rencontre,
sodo,
Auteur: Micchel1954, Source: Revebebe
... va te faire.
Il m’embrasse et déjà je sens son sexe grossir. Il vient taper à ma porte et l’ouvre sans difficulté. Ce n’est pas l’estocade de la cathédrale, non, très doucement il m’ouvre, me laisse me refermer, me rouvre. Il s’enfonce en moi, chaque fois un peu plus loin. C’est doux, très doux, et puis ça vient du fond de moi-même, je jouis très fort. À peine revenue à moi, il continue sur le même rythme, à peine ai-je repris mon souffle que je repars au royaume des étoiles, revenant sur terre. Il continue toujours sur la même danse, je ne sais ce qu’il me prend, moi l’indolente, nonchalante, introvertie, je lui saisis les cheveux, je tiens sa tête face à moi, les yeux dans les yeux, j’entends une voix hurler :
— Vas-y, putain, mais vas-y, vas-y…
Je me rends compte alors que cette voix est la mienne.
Il gronde tel un grand cerf en plein rut au milieu de ses biches et je le sens venir en moi plusieurs fois.
Je me réveille dans la même position, Joseph affalé sur moi encore entre mes jambes, endormi, la tête entre mes seins. La sensation délicieuse de son sperme qui s’écoule de moi.
Je lui caresse la tête. Se réveillant, il me regarde.
— Tu m’as tué !
Je rigole.
— Moi aussi, l’amour donne faim, un petit casse-croûte, ça te va ?
— OK !
C’est un casse-croûte en bas, pâté de cerf, fromage, pain, une bonne bouteille de vin. On parle, de la campagne, de la forêt, des champignons, du bois pour se chauffer, de la pêche, de la chasse. Joseph m’ouvre les ...
... yeux sur ce monde rural.
Alors que je débarrasse, et que je mets les couverts dans l’évier, je le sens derrière moi, il m’étreint, il me serre.
— Pas fatigué ? m’inquiété-je
— Non, quand je chasse, je chasse toute la journée. Et n’oublie pas qu’on est en pays de rugby : deux mi-temps ce matin, et la troisième sera terrible et c’est maintenant.
— Frimeur…
Il me mord le cou, me créant des frissons.
— Frimeur, moi ? Tu vas voir ! me murmure-t-il. Je vais te défoncer, te péter ton petit cul.
— Ah, ça, on va en parler !
Il me prend dans ses bras en riant, me porte dans la chambre, et hop, il me jette sur le lit et se déshabille. Son sexe est déjà dressé, magnifique.
Ce n est plus l’amant cool de ce matin, il est actif, de partout, de la bouche, des mains, du corps… c’est un autre, un mâle en fureur. Mon petit cul ? Non, je ne veux pas, mon mari avait essayé, je ne me rappelle que de la douleur, c’était vraiment pas le pied ! Mais un doute subsiste en moi : c’est tellement bien avec lui, je n’ai jamais connu ça… Comment pourrais-je lui refuser ça ?
Il me tire au bord du lit, me pénètre, me prend. Il est fort, costaud. Il tape, je n’arrive pas à me lâcher, tendue que je suis, j’ai peur pour mon petit cul. Il me retourne, me pose sur le lit, il me prend par derrière, en levrette, dirons-nous, s’adoucit, cela va mieux, je reprends plaisir. Je sens son doigt s’insinuer dans ma raie, il me masse l’anus… pris en même temps, c’est agréable. Il sort, m’embrasse le ...