1. Le hasard et la timidité


    Datte: 12/10/2024, Catégories: fh, inconnu, grosseins, amour, BDSM / Fétichisme caresses, entreseins, préservati, pénétratio, rencontre, Auteur: RRoberts, Source: Revebebe

    ... Quand je suce son bouton, elle pousse un petit cri et serre ma tête entre ses cuisses. Je risque d’étouffer dans la prison la plus douce du monde, mais c’est génial de caresser le haut de ses cuisses, d’empoigner ses fesses rondes et fermes. Elle gémit doucement, écarte un peu ses jambes ; je dégage mes mains et saisis ses seins qui débordent sur les côtés de sa poitrine. Je les presse l’un contre l’autre, je peux à peine les voir, avec mon nez dans sa toison épaisse et ma bouche qui suce goulûment, mais je les sens bien, massifs, serrés, doux, ronds entre mes mains. J’aurais envie de les malaxer, mais je me retiens, c’est déjà fou de sentir leur volume et leur poids.
    
    Lucie se redresse, me fait signe de m’allonger sur le dos. Elle vient sur moi, saisit ma verge et lèche doucement le bout, puis la prend dans sa main humide avec des mouvements qui m’affolent. Elle se tourne et sa vulve odorante passe à ma portée. J’attrape ses fesses et lèche tout ce que je peux atteindre. Sa peau brune est soyeuse, par moments je l’explore doucement, à d’autres je prends furieusement ses hanches ou ses fesses qu’elle remue de façon imprévisible. Pendant ce temps, elle continue à me sucer et me caresser, et de temps en temps le bout de ses seins caresse mon ventre. Je vais éclater. Non, c’est trop tôt. Je lui crie presque d’arrêter. Elle se soulève un peu, serre entre deux doigts la base de mon érection, il était temps. Je continue de sucer et lécher son clitoris et ses lèvres sombres, ...
    ... j’entends qu’elle apprécie et que son souffle s’accélère.
    
    Elle se relève puis se met à genoux devant le canapé, prend ses seins dans ses mains et en entoure mon membre hypergonflé, encore humide de sa salive. Il disparaît complètement, mon imagination s’enflamme, quel pied, quelle douceur ! Mais je ne vais pas tenir longtemps, elle le sent aussi. Vite, elle sort de son sac un préservatif – où sont les miens ? – qu’elle déroule habilement. Elle s’agenouille au-dessus de moi, prend ma tête pour un court baiser profond.
    
    — Tu veux ?
    — Bien sûr que je veux. Je t’…(je m’interromps juste à temps)
    — Essaye de tenir un peu, mais moi aussi je suis prête.
    
    Elle m’attrape doucement au ras du pubis, descend son bassin en prenant bien son temps et m’avale complètement ; c’est chaud, à peine serré, et je crois même sentir son jus malgré la capote. Elle se tient droite, monte et descend lentement, elle ne me regarde plus, mais je la sens rougir, elle ferme les yeux. Soudain, elle accélère et pousse un long cri. Elle se penche plus vers moi, prend et plaque une de mes mains sur ma poitrine et me dit :
    
    — Vas-y, à toi maintenant.
    
    Je soupèse sa poitrine, encore plus belle maintenant qu’elle pend au-dessus de moi, je serre ses globes l’un contre l’autre, mais je ne tiendrai plus. J’attrape un sein à deux mains et suce la pointe tout en partant, dans un spasme qui me soulève tout entier.
    
    — Encore un peu… halète-t-elle, les bras posés sur mes épaules.
    
    Oui, encore, je voudrais que ...
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