6969 ou le Carré Parfait
Datte: 19/07/2019,
Catégories:
hh,
hhh,
copains,
Masturbation
Oral
69,
Partouze / Groupe
init,
Gay
Auteur: Sucette stories, Source: Revebebe
... à la bite de Ludo. Immédiatement, je sens une sensualité, une structure, et même un goût différent. Je suis excité de sentir la salive de Marco. Julien continue à m’astiquer le mandrin sans les dents. Son rythme a changé, car le plaisir de son bas-ventre aussi, puisqu’il est soumis à la pipe experte de Marco.
Mes trois partenaires se lâchent et se mettent à gémir gutturalement. Un instant, j’ai peur que les voisins nous entendent, avant de me rappeler qu’il n’y a rien dans les alentours. Alors à mon tour, je me mets à grogner comme un acteur porno, me laisse prendre de plaisir et imagine la scène vue de dessus : quatre beaux mecs, seuls, délaissés par les filles, se faisant énormément de bien, se dépannant les uns les autres pour la fièvre du samedi soir. Comment appelle-t-on cette position ? Est-ce deux 69 imbriqués ? Dit-on que c’est un 6969 ? Ou un 6996 ? Ou alors un 6699 ? Je me perds dans vocabulaire et la langue, aussi m’imaginé-je seulement avec cette vision de carré parfait, dans laquelle chaque cheville s’imbrique dans la planche précédente, pour que le cercle ne se brise pas.
Enfin, au bout de quelques minutes, je sens Ludovic accélérer, mettre la main à la hampe, me branlouiller. Le jus monte très vite. Le premier à se lâcher est Marco, qui grogne, pendant que Julien proteste en gargouillant. Cela a dû exciter parfaitement Ludovic, qui quelques instants après, pousse des râles apparents ...
... et que je reconnais immédiatement comme une jouissance. C’est Marco qui déguste. Vient mon tour, je jouis, plusieurs jets puissants de torrent de foutre jaillissent de ma poutre de chair, tellement puissants que j’en suis surpris. Je n’ai jamais joui autant avec mon ex, Louise ; et je suis reconnaissant envers Ludo, qui en bon connaisseur de bonne chose, me prodigue ses talents d’avaleur. Jamais Louise n’avait autorisé un tel privilège. En bon dernier, Julien décharge une bonne quantité de son méat d’amour, une substance gluante et visqueuse dégouline dans ma gorge, et je ne me pose même pas la question que l’on pourrait se poser dans une telle situation. J’avale amoureusement, avec force bruit de déglutition, ce divin nectar qui coule d’une goulée dans mon ventre.
Une fois tous rassasiés de cette bonne rasade de cocktail protéiné propre à chacun, nous nous allongeons tous dans le lit. Je revois encore toute la scène, le goût de la bite, le délicieux goût du sperme, donner et offrir, et je me dis que décidément des plans cul gay, y a que ça de vrai. Mes compagnons, quant à eux, sont ravis d’avoir intégré dans le cercle restreint de cette amitié à privilège, et que je sois le nouvel argument de cette équation à non plus trois, mais quatre (in)connus, multipliant maintenant les possibilités d’embriquement entre eux.
Mais ça, ce sera dans un prochain épisode pour vous, et dans quelques heures pour moi…