6969 ou le Carré Parfait
Datte: 19/07/2019,
Catégories:
hh,
hhh,
copains,
Masturbation
Oral
69,
Partouze / Groupe
init,
Gay
Auteur: Sucette stories, Source: Revebebe
... continue mon initiation ? peut-être que j’ai autre chose que ma main d’expert ?
— Ah, il en demande, dit Marco. Écoute, on va en profiter tant qu’il a envie. Qui aimerais-tu sucer ?
Je veux pas qu’ils prennent l’ascendant, aussi je désigne Julien comme ma première cible. Mais celui-ci a la bouche scotchée sur ma hampe, il continue même à m’embrasser le membre, me lèche les boules et les fout dans sa bouche, et sa langue vient jouer avec mon anus, avant de revenir sur sa pompette et d’aller et venir à toute vitesse le long du manche. Alors il n’a pas le choix que de se mettre tête-bêche et voilà que sa longue et volumineuse biroute vient emplir ma cavité buccale. Ma première bite ! Délicieuse ! Un exquis cocktail de chair et de muscles, nervuré où il faut, un gland gonflé, une fente calculée, bref une barre calorique bourrée de plaisir !
Ludo et Marco, déçus de n’avoir été élus pour ma première fellation, ne restent pas en reste. Ils se mettent à genoux face à face en se roulant des pelles goulûment et se branlent mutuellement le vit. Du coin de l’œil, je vois la force de l’habitude. Ils se connaissent parfaitement, se branlent chacun à une vitesse différente, ne vont pas à la même longueur. Puis ils s’allongent à leur tour, sur le flanc, et se mettent à se sucer. Si Julien et moi, on a décidé d’être l’un sur l’autre en usant un minimum de la force de nos poignets pour se concentrer sur un pur mouvement de la mâchoire, Marco et Ludo usent abondamment de la branlette, ...
... mais je vois leurs joues se creuser sous l’aspiration. Je vois qu’il y a plein de méthodes, de manière pour satisfaire et se faire satisfaire avec son partenaire, et j’ai l’impression que ces trois instructeurs auront beaucoup à m’apprendre ! Encore faut-il qu’ils acceptent de me revoir après, mais quelque chose me dit que ça ne sera pas compliqué.
De temps à autre, je sens une main se perdre sur ma hanche, mes cheveux. Ils me caressent, m’encouragent, me donnent le rythme en m’appuyant sur la nuque et j’entends Julien grogner de plaisir. Quel plaisir, effectivement, que de pomper et se faire pomper, d’avancer la tête pendant que mon partenaire se retire, de baver, perdre du flux buccal pendant que la salive de Julien se dépose le long de mon sexe. Nous sommes comme le yin et le yang, l’un dans l’autre ; ce n’est pas comme un coït classique, entre homme et femme, où l’appendice de l’homme remplit le vide féminin, sans contrepartie que le plaisir mutuel. Non, là je donne, je reçois en même temps, plusieurs centimètres cubes disparaissent dans la cavité buccale, et comme cadeau je reçois la même. Peut-être même un peu trop.
Nous rompons tous la monotonie lorsque Marco, en maître des lieux et maître d’orchestre, nous ordonne une pause. Nous nous allongeons alors en angle droit, nos corps comme des I formant un carré, et après avoir repris nos souffles, car en apnée, nous offrons chacun notre bouche à la bite qui se présente devant nous. J’ai le droit, cette fois-ci de goûter ...