6969 ou le Carré Parfait
Datte: 19/07/2019,
Catégories:
hh,
hhh,
copains,
Masturbation
Oral
69,
Partouze / Groupe
init,
Gay
Auteur: Sucette stories, Source: Revebebe
... c’est comme les plaisanteries. Les plus courtes c’est les meilleures.
Ludovic et Marco continuent à me branler tandis que je leur rends la pareille. C’est une situation plutôt étrange, et tantôt merveilleuse. Ils sont incroyablement doux et patients avec moi : je sais qu’avec eux, je pourrai aller au plus loin de mes fantasmes, et pas plus loin. Je les branle de plus en plus rapidement, mais ils me demandent de ralentir, si je veux pas qu’ils jouissent en deux-deux…
— On va dans la chambre, demande Julien ? C’est exigu et j’aimerais bien participer.
On se déplace et on va dans la dernière pièce que je n’ai pas vue. J’ai un hoquet de surprise quand je vois le lit : il s’agit d’un lit king size, ou même Emperor Napoléon Dictatorial ! Le lit est immense, combien de personnes peuvent s’y allonger ? Combien faut-il de personnes pour y mettre les draps ?
Julien, Ludovic et Marco se débarrassent de leurs vêtements. Ils sont tous carrément à poil, bien gaulés, musclés comme des statues grecques – sauf l’attribut mâle, plutôt minuscule sur les sculptures hellènes, ressemblent là à des caricatures d’acteurs de films pornos. Je fais pâle figure à côté, plutôt squelettique de bras et empoté du ventre. Ils me déshabillent à leur tour, car je tarde trop, et me poussent dans le lit.
— Je peux te sucer, me demande Julien ? Ça m’a mis la bouche en feu. J’ai besoin que tu la refroidisses.
— Oui…
— Ah, il parle. Il sait utiliser la langue. Peut-être qu’il pourra faire un ...
... autre usage ?
— Oui, peut-être, j’ajoute en me détendant.
Il faut dire que la caresse buccale et experte que me prodigue le jeune Julien a pour effet de carrément me détendre. Allongé sur le lit, je suis vite rejoins par les deux autres éphèbes. Julien me fait tellement du bien en me pompant le dard que mes mains agrippent pour attraper les doigts, comme si je tombais dans un vide et que je me rattachais à un nuage. Marco et Ludo n’hésitent pas et me saisissent les poignets pour les poser sur leur ventre. Ainsi, au lieu de récupérer des draps satinés, je me saisis de nouveau de leurs superbes bites et les enserre encore avec vigueur. Tous deux poussent des cris de satisfaction.
De nouveau je me mets à les branler, et les voilà qu’ils usent de leur bouche, à défaut de ma bite puisqu’elle est occupée par Julien, sur mes tétons, mon cou, mes oreilles. Ils viennent même me rouler des pelles et je leur rends la pareille. Je sens leur peau se rapprocher : quasiment tout mon corps est en contact de ces trois hommes.
— Oh oui, c’est bon, me dit Marco ! Tu branles super bien, tu sais ! T’as jamais branlé un autre homme de ta vie que toi ?
— Non !
— Tu as un don. C’est ma meilleure branlette. Même Ludo et Julien qui me connaissent ne savent pas faire ! Pas vrai Ludo ?
— Et pourtant on n’a pas le même gabarit ni la même structure, et pourtant, ouais ! Tu sais vraiment bien nous branler ! Un vrai petit branleur expert !
— Merci, ajouté-je. Mais peut-être qu’il faut que je ...