6969 ou le Carré Parfait
Datte: 19/07/2019,
Catégories:
hh,
hhh,
copains,
Masturbation
Oral
69,
Partouze / Groupe
init,
Gay
Auteur: Sucette stories, Source: Revebebe
... Elle doit bien faire vingt centimètres !
— Là, comme ça, tu te branles, puis après quand tu jouis, t’ouvres la bouche. Bon faut faire attention, quand comme moi t’es un éjaculateur abondant, t’en fous un peu partout, sur les coussins, dans les yeux, dans les cheveux, rarement dans la bouche, faut bien viser !
Julien se rassit dans le canapé, mais c’est pas pour autant qu’il recouvre son entrejambe ni son érection proéminente.
À ce moment, un silence gêné et gênant s’installe dans le salon, couvert par la musique un peu forte. Je respire un peu fortement, et je sens que c’est le moment clé où tout peut changer. Je peux décider de me lever, de dire au revoir d’un ton un peu en colère et de disparaître, ou alors rester et voir ce qui va se passer.
Marco est assis à ma gauche et Ludovic à droite, et je les sens se resserrer vers moi. Puis habilement, comme dans une chorégraphie sagement définie, ils posent chacun une main sur mon torse. Ludovic caresse ma cuisse droite de sa main libre, pendant que Marco pose sur mon ventre. Je ne dis rien, puis je m’aperçois que je suis tout tendu. J’expire difficilement, puis finalement mon corps finit par se détendre. Marco descend alors sa main sur mon jean l’entrejambe et entreprend de caresser mon paquet qui commence à prendre forme.
— Tu sais, me dit gentiment Marco, si t’as envie de partir, tu peux. On te force à rien.
— Non, non, je me sens bien… c’est plutôt bien ce que vous me faites, là.
— C’est qu’une expérience, ...
... me susurre Ludovic. Tu verras bien si ça te plaît.
Puis les deux commencent à m’embrasser sur les joues et me rouler des pelles à tour de rôle. Les caresses circulaires sur mon bas-ventre commencent à se préciser, à être à la fois douces et fermes, et une deuxième main vient compléter ce que fait la première.
— Ça te dirait de nous branler ?
J’acquiesce du menton silencieusement. Deux bites s’extirpent des braguettes pendant qu’ils continuent à me maintenir contre le canapé. Deux belles bites rien que pour moi ! Elles prennent rapidement forme pendant que je les saisis et commence à les masser avec vigueur. C’est la première fois que je tiens une bite (et même deux !) qui n’est pas la mienne, et je dois avouer que la texture est plutôt étrange. Je ne m’attendais pas vraiment à ça. C’est d’autant plus étrange, et même rigolo, maintenant qu’elles prennent bien forme : deux massues bien rigides, puissamment érigées vers le plafond, colonnes de chair vigoureuse et plutôt soyeuse à l’extérieur.
— Tu veux que je te branle à ton tour, me demande Ludo.
J’acquiesce encore. Ça n’a pas l’air de les déranger que je ne dise rien. Marco s’occupe de ma braguette et Ludovic va chercher ma bite. Je suis très nerveux, mais elle, elle semble avoir attendu ça toute sa vie. En une dizaine de secondes, elle se déplie de son format trompe d’éléphant pour devenir à son tour un pieu charnu.
— Désolé, chuchotai-je, elle est pas aussi grosse que les vôtres.
— Tu rigoles ? Les bites, ...