Single malt, dix-huit ans d'âge
Datte: 09/10/2024,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
vacances,
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forêt,
essayage,
cinéma,
collection,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
attache,
délire,
rencontre,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... plongeant tandis que le bas avait subitement une propension à voler au vent plus que de raison. Avec le recul, je me dis qu’elle n’a jamais rien révélé d’autre que mes jambes et que c’est dans ma tête que tout se passait.
Mon arme secrète à moi – enfin, celle qui me faisait passablement délirer – c’était une petite culotte en coton écru que j’avais en plusieurs exemplaires. Oh, pas un de ces minuscules triangles de dentelle qui, non contents de ne rien cacher, s’enfouissent entre vos lèvres à la vitesse de la lumière et dont l’arrière a très vite fait de vous scier le fondement… Non, tout au contraire, quelque chose de confortable et dont la seule excentricité était que les deux parties étaient simplement jointes par des cordons noués sur les hanches. Quelque chose de sage, en fait…
Enfin, quand je dis sage, cela aurait pu être le cas si j’avais pris un 38 plutôt qu’un 36… C’est bien simple, lorsque je l’enfilais, je n’avais pas trop de mal à y mettre l’intégralité de mes fesses tandis que les poils de mon pubis restaient sagement cachés derrière la fine étoffe. Par contre, si j’avais la bonne idée de marcher un peu vite, de monter en voiture ou un bête escalier, ou d’une manière générale, de cesser d’y penser, je pouvais être certaine qu’une bonne partie de mon anatomie allait se retrouver à l’air libre. Cela aurait pu être désagréable, mais, comme cela se passait sous ma robe et loin des regards curieux, cela m’amusait… Régulièrement, l’avant descendait jusqu’à la ...
... limite de mon sourire vertical en laissant apparaître la quasi-totalité de ma toison ou, à l’inverse, je retrouvais l’arrière de cette culotte au beau milieu de mon popotin.
Agaçant ? Oui, sans doute, cela aurait pu l’être… Mais pour moi, c’était l’accessoire quasiment indispensable lors de mes rêveries là-haut, dans mon grenier. Je desserrais le cordon de ma robe pour qu’elle puisse s’ouvrir jusqu’à l’aine, et même bien plus selon l’humeur du moment. J’aurais pu l’ouvrir complètement pour laisser apparaître mes seins, mais je n’y tenais pas : dans mon trip, le voyeur ne devait pas se douter que j’étais parfaitement au courant de sa présence et qu’en vérité, c’est moi qui jouais avec lui et non l’inverse.
Alors, cette culotte, je la montais, je la descendais… Les deux jambes posées sur les rebords du fauteuil et le coquillage parfaitement offert à la vue de cet observateur imaginaire, je la glissais sur le côté pour qu’il puisse jouir de la vue de son sillon intime, je tirais dessus jusqu’à ce qu’elle rentre entre mes lèvres, et puis je recommençais…
En général, au bout d’un certain temps, je ne la retirais pas tout à fait, prenant bien soin de la laisser pendouiller à ma cheville, et là, j’ouvrais et je refermais les cuisses, je faisais mine de cacher ma chatte avec mes mains avant, tout au contraire, de ré-ouvrir les jambes pour la laisser réapparaître dans la plus parfaite impudeur…
Je mouillais ? Oui, bien sûr, quelle question ! Je me touchais ? Oui, cela allait ...