1. Single malt, dix-huit ans d'âge


    Datte: 09/10/2024, Catégories: f, fh, hplusag, vacances, piscine, forêt, essayage, cinéma, collection, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme attache, délire, rencontre, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... la couenne dans un invraisemblable nuage de poussière… Le mélange de ma peau encore mouillée et de cette poussière en question en suspension est assez explosif, mais le pire est à venir quand un autre carton rempli de verres dépareillés décide de suivre le chemin du reste, et là, au moment où j’essaie de l’intercepter avant son arrivée au sol, celui-ci se disloque, les coupes et autres flûtes éclatent dans mes mains et je me retrouve les mains en sang… Quelle conne !
    
    Alors, que faire ? Redescendre et demander à l’un des dormeurs – c’est l’heure de la sieste – de bien vouloir jeter un œil à mes blessures…
    
    De façon assez prévisible, le formidable raffut que je viens de faire a réveillé Michel, qui a toujours été connu pour avoir le sommeil plutôt léger. Quant aux autres, ils pioncent encore, tout simplement ! En me voyant comme ça, toujours en bikini, mais couverte de poussière et les mimines ensanglantées, il s’inquiète.
    
    — Fais-moi un peu voir ça…
    
    Pour avoir une meilleure vue de l’étendue des dégâts, il commence par me passer les mains sous l’eau de la douche extérieure.
    
    — Eh bien, tu ne t’es pas ratée ! Tout cela n’a pas l’air très profond, mais il va falloir désinfecter tout et sans doute mettre quelques pansements…
    
    Puis, après un silence :
    
    — … mais il est hors de question que tu ailles dans la salle de bain dans cet état ! Allez, à la douche !
    
    Avec un sourire gêné, je lui montre mes mains.
    
    — T’as raison… Je vais t’aider.
    
    Je me glisse alors ...
    ... sous le jet d’eau tiède et, instantanément, ce qui me semble une quantité industrielle de poussière glisse sur ma peau, s’infiltrant partout où cela est possible, à savoir dans mes bonnets de soutif et ma culotte, à tel point que de longues traînées grises sont clairement visibles au travers de l’étoffe. J’essaie de pallier cela, mais tout ce à quoi je parviens, c’est à ajouter du sang sur le tissu tout en me faisant mal aux doigts. Je jette un coup d’œil autour de moi.
    
    — Le mieux, c’est que tu me le retires… Au pire, j’expliquerai aux autres ce qui se passe.
    
    Quelques instants plus tard, je me retrouve nue à quelques centimètres de Michel, qui s’efforce de ne rien laisser paraître de son trouble. Mais son calvaire ne s’arrête pas là puisqu’il se retrouve dans un premier temps obligé de me laver les cheveux – et ils étaient longs à l’époque – avant de me savonner le corps.
    
    La suite, vous la devinez : lorsqu’il arrive à mes seins, je ne peux m’empêcher de lui demander d’insister… Oui, là, sur les pointes… Oui, il en reste encore… Frotte encore un peu… Et lui, passablement amusé, rentre dans la combine. Quand c’est à mon sexe d’être nettoyé, il hésite à se glisser entre mes lèvres – pourtant et sans en rajouter, je sens très bien que de la poussière s’y est réellement infiltrée – et là, il passe et repasse sur mes zones sensibles pour mon plus grand plaisir et, à ma demande et sous le prétexte de ne laisser aucun grain de poussière dans cette partie de mon anatomie, me ...
«12...212223...45»