1. Single malt, dix-huit ans d'âge


    Datte: 09/10/2024, Catégories: f, fh, hplusag, vacances, piscine, forêt, essayage, cinéma, collection, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme attache, délire, rencontre, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... plaisir, tout simplement ! Le contact de cette laine incroyablement douce et soyeuse sur sa peau nue est un bonheur qu’il est difficile d’imaginer sans l’avoir expérimenté soi-même. Seul petit revers de la médaille, vous vous retrouvez bien vite avec des seins qui pointent à n’en plus finir au travers de la fine étoffe et, sans doute par ricochet, avec une case trésor qui prend bien vite des allures d’Amazonie à la saison des pluies.
    
    Pour pallier cela, j’enfilais bien souvent un perfecto de cuir noir si d’aventure je devais sortir de chez moi dans cette tenue… Hélas, cela ne s’est pas souvent reproduit : l’entretien de ce « cachemire du Pérou » est tout bonnement cauchemardesque, et malgré toutes les précautions que j’ai pu prendre, le second lavage fut le dernier.
    
    Avec le recul, je me dis que j’aurais sacrément aimé la porter en présence de Michel et qu’il se serait sans doute fait un plaisir de me ravager mon petit Manaus personnel à la première occasion, quitte à me décorer cette précieuse robe façon Monica Lewinsky.
    
    Mais là, comme pour le reste, cette toute dernière partie n’est restée qu’à l’état de fantasme !
    
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    Un autre retour dans mon grenier
    
    Quelquefois et sans raison valable, on se remémore quelques souvenirs de jeunesse et l’on se met à broder sur ce que l’on aurait pu faire si les choses s’étaient déroulées autrement.
    
    Mon trip, là, se déroule le fameux été dont nous avons parlé plus haut et où je fréquentais assidûment ce vieux ...
    ... grenier poussiéreux qui avait dû être l’antre d’un célibataire probablement endurci.
    
    Cette fois-là, j’ai enfilé mon bikini blanc, celui qui me fait un beau cul et dont la qualité principale à mes yeux est de devenir franchement translucide lorsqu’il est mouillé. En clair, pas la peine de s’imaginer grand-chose, les pointes de mes seins sont toujours à deux doigts de crever le tissu tandis que cette petite fourrure brune que je taille quasiment chaque jour se détache clairement sur le tissu blanc, pour le plus grand bonheur de ma mère qui s’amuse de voir la tronche des deux hommes ici présents et qui n’en peuvent plus de hurler à la lune. Quant à Agnès, elle, je crois bien qu’elle s’en fout un peu…
    
    Dieu sait pourquoi, j’ai eu l’idée saugrenue, au sortir de la piscine et sans même prendre la peine de m’essuyer, de filer directement dans le fameux grenier. Et là, quelque chose m’intrigue dans le fatras de ce grenier, au point de me faufiler entre les trucs et les bazars rangés là-bas, dans la soupente… Il s’agit d’une vieille robe essentiellement en dentelle qui fut blanche dans un passé lointain, mais qui, j’en suis sûre, ne doit pas être loin d’être à ma taille et à laquelle un ou deux passages énergiques en machine rendront sa blancheur originelle. Il ne me reste plus qu’à la redescendre, et à moi le jeu des antiques transparences !
    
    Manque de chance, je ne sais pas trop ce que j’accroche, mais voilà qu’un demi-mètre cube de cartons empilés à la va-vite me dégringole sur ...
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