1. Le journal érotique de Maud


    Datte: 09/10/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... d'abstinence. Mais mon con avait tellement envie d'être visité que je l'ai assez vite englouti. Je n'aurais pas cru qu'un engin pareil puisse être absorbé par mon intimité mais c'est l'avantage d'avoir connu trois maternités : ça permet d'accueillir des grands formats. Dès que j'ai commencé à vraiment remuer, on a été en symbiose totale. Et alors, quel bonheur ! On imagine pas à quel point une bonne grosse bite bien raide puisse faire du bien à une femme dans le besoin comme moi. Je me régalais les yeux de son torse magnifique tout en faisant aller et venir mon cul. Je lui ai mis ses mains sur mes seins pour qu'il les caresse pendant que j'ondulais sur lui car j'adore ça. Je baisais et j'ai encore plus baisé quand il est venu sur moi pour me larder de coups de bite. Je n'avais pas mis les talons dans les reins d'un mec depuis des années lumière et je peux dire qu'il a eu droit à la pression. Tout mon trac avait disparu et si j'avais une appréhension, c'était qu'il jouisse trop tôt. J'arrêtais pas de lui demander de se retenir, de continuer à me baiser.
    
    Je venais de me mettre à quatre pattes pour qu'il me prenne par derrière quand Caro a fait son entrée avec l'autre gars et sa tête crêpue. "Poussez-vous, on va continuer ici", a-t-elle dit. Elle s'est mise à quatre pattes à côté de moi et les deux garçons nous ont enfilées dans un parallèle quasi parfait. C'était la première fois que je faisais l'amour, si l'on peut dire, en présence d'un autre couple. Sensation bizarre ...
    ... mais terriblement excitante. Avec Caro, on s'encourageait, on se questionnait, elle voulait vraiment savoir si je prenais mon pied. Elle a fini par s'allonger et je me suis aperçue que le mec qui la baisait était mon rasta. Je ne m'étais même pas rendue compte que c'était son pote qui me tringlait par derrière. A dire vrai, je m'en foutais, du moment que j'avais une grosse bite dans la chatte. C'est dire dans quel état j'étais. Méconnaissable.
    
    J'ai senti que le mec devenait très pointu, qu'il accélérait son rythme au point de me secouer comme un prunier. J'en avais mal aux nichons. A côté, Caro était elle aussi sérieusement chahutée, le plumard grinçait et bougeait. A l'entendre s'exalter, j'ai compris pourquoi elle voulait des petits jeunes. Ce sont de vraies mitraillettes de la bite et je n'avais plus le souvenir de ces cavalcades. J'en transpirais et je sentais les gouttes de sueur du gars tomber sur mes reins. Ecartelée, Caro a envoyé sans le vouloir un pied dans ma joue. Signe qu'on se faisait vraiment défoncer : les bruits de nos bouches étaient presque masqués par les claquements des peaux. Il y avait quelque chose de sauvage dans la manière de baiser de ces deux étalons mais quel pied ! Je crois que jamais je ne m'étais sentie aussi femelle, avec cette bite qui me creusait inlassablement. J'en étais raide dingue. Mais on avait atteint un pic. Caro s'est mise à jouir avec un "ouiiiii" assourdissant et ça a déclenché dans mon cerveau un orgasme inédit, total. Mon gars ...