Le journal érotique de Maud
Datte: 09/10/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... garçons d'aller chez elle avec moi. Ils ont souri de toutes leurs dents. Ils voulaient nous baiser. Je ne pouvais plus reculer. J'avais un trac terrible.
Ils nous ont suivies en voiture et Caro m'a demandé lequel je voulais. Celui à la coiffure rasta me plaisait bien. Il m'avait dit son prénom mais je l'ai oublié. Je commençais sérieusement à mouiller et c'était plutôt bon signe. La sècheresse n'est-elle pas l'ennemie du plaisir chez la femme ?
En montant l'escalier vers son appartement, Caro tortillait du cul sous sa combinaison que c'en était indécent, avec ses fesses collées au cuir, véritable appel à la bite. Mais ça a accru l'incendie dans mon string. J'avais à la fois une sensation de feu et de vide. Il fallait éteindre et remplir. D'urgence. Dans l'appartement, j'ai mieux vu nos chevaliers servants. Ils m'ont paru étonnamment jeunes, à peine plus vieux que mon fils. Mais quels corps ! Quand ils ont enlevé leur tee shirts, sans transition, j'ai frissonné de la tête aux pieds. Caro avait hâte d'entrer dans le vif du sujet. Pendant que l'autre gars tirait sur la fermeture éclair de sa combi et dévoilait d'un coup d'un seul son corps nu avec le béret basque de son pubis, elle me désigna la chambre d'amis et dit qu'elle se gardait le canapé car elle ne voulait pas baiser dans la chambre conjugale. Délicate attention pour Gaston.
Bref, j'ai tiré mon mec vers la chambre, impatiente de voir ce qu'il y avait dans son jean. Oh mon Dieu ! Le gaillard n'avait ni ...
... slip, ni boxer et sa queue a surgi comme un diable de sa boite. Jamais je n'avais vu une aussi belle queue. Une vraie sculpture en bois d'ébène. A peine avait-il relevé mon débardeur que je l'embouchais. Cela faisait un sacré bail que je n'avais pas sucé, mais une comme ça, jamais. C'était chaud, c'était dur et c'était surtout très gros. J'en avais plein les joues. Et ces couilles ! Grosses comme des balles de tennis. Un mec monté pour procréer. Pas dans mon cas, certes. Après l'avoir bien pompé, j'ai couru à poil dans le salon demander à Caro un préservatif car bien sûr, le gars n'en avait pas. Elle était en train de se faire pilonner sur le canapé, une jambe sur le dossier, l'autre sur l'épaule du gars qui virevoltait du cul, archi ouverte et n'avait pas trop la tête aux choses pratiques. La voir se faire baiser comme ça, ma collègue, c'était fort. Il a fallu que je lui gueule à l'oreille "où sont les capotes" pour qu'elle me désigne du doigt une petite boite en miaulant. Le cul en mouvement de son mec était tellement sexy que je n'ai pas pu m'empêcher de le caresser. Le gars s'est retourné avec un grand sourire. Je me suis vite tirée avec ma capote de peur qu'il ne lâche Caro pour me sauter à sa place.
L'autre m'attendait, couché, la queue verticale. La coiffer a été un peu compliqué car la capote était juste mais il était bien gainé quand enfin, je me suis mise sur lui et j'ai descendu mon cul. Très lentement d'abord car j'étais vraiment resserrée après tant de mois ...