Le journal érotique de Maud
Datte: 09/10/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... mais baise. Tu es canon, les mecs bavent devant toi, fais péter tes hormones". Elle parle cash et cru, Caro, c'est pour ça que je l'aime bien. Elle m'a proposé de sortir avec elle samedi soir en boite, "en célibataires", a-t-elle dit, car Gaston est en mission à l'extérieur. J'appréhende mais ça m'excite en même temps. En attendant, place à la vente à l'épicerie. J'ai encore vu un beau brun faire ses courses avec sa nana aujourd'hui. Est-ce qu'il l'a fait jouir, au moins ?
Dimanche
Lever à 13h30. Moulue, courbatue, mâchée. Plus de mon âge, ces soirées ? Bien possible. Ou plutôt ce qui a suivi. Mon fils aîné, le seul présent dans la maison actuellement, me regarde d'un drôle d'air en train de déambuler en pyjama. Ce n'est pas la norme que sa mère rentre se coucher au petit matin. Et se lève aussi tard. Il a dû préparer son déjeuner tout seul, pâtes à la sauce tomate à ce que je vois dans l'évier. Moi, ce sera juste un café, très fort. Faut que je me remette sur les rails.
Tout a commencé hier vers 18h quand j'ai retrouvé Caroline chez elle. Elle avait une combinaison en cuir terrible avec une fermeture éclair devant. A poil dessous. Moi, j'étais en jean et chemisier, tennis pour danser, classique, en sous-vêt. "Tu ne peux pas sortir dans cette tenue", m'a-t-elle asséné, assez consternée. Elle m'a emmenée vers sa garde-robe, a sorti un mini short, un débardeur, des sandales à talons plats et un blouson court. "Avec les guiboles que tu as, ne pas les montrer, c'est un ...
... crime", m'a-t-elle dit. Elle m'a tendu un string pour remplacer ma petite culotte et ma sommé de lâcher mon chignon pour laisser mes cheveux retomber sur mes épaules, comme elle. Quand je me suis vue dans la glace, j'ai eu l'impression d'être une pute.
"Tu veux baiser ou pas ?" m'a-t-elle dit. Je lui ai dit que je voulais surtout danser et elle a haussé les épaules.
La boite où elle m'emmenait était très "branchouille". Les jeunes se révélaient nettement majoritaires et je me suis sentie très vieille là-dedans. Caro, au contraire, était super à l'aise. Dans la voiture, elle m'avait avoué : "j'ai envie de me taper un petit jeune ce soir". Et Gaston ? je lui ai demandé, à quoi elle a répondu : "il vit sa vie et je vis la mienne". Chanceux couple.
Ce qui m'a rassuré, c'est qu'on a très vite été entourées sur la piste de danse. Sans doute que les lumières tamisées effaçaient nos rides. Deux jeunes gars étaient particulièrement assidus. Souples, colorés, respectueux, vingt ans de moins facile mais ça n'avait pas l'air de les gêner. On a pas mal dansé ensemble, parlé aussi (très fort vu le bruit), un peu bu (mais pas trop, je ne tiens pas l'alcool) et il est arrivé le moment fatidique : se séparer en rentrant chacun chez soi, ou finir la nuit ensemble. Cela faisait un moment que l'un des deux gars pelotait Caro et que l'autre essayait de m'embrasser. Caro m'a demandé à l'oreille si on pouvait aller chez moi. J'ai dit non à cause de mon fils. Alors, elle a proposé aux deux ...