1. Le journal érotique de Maud


    Datte: 09/10/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    Lundi
    
    Un an. Cela fait tout juste un an que mon mari m'a larguée avec nos trois gosses. Pour une pouffe de 20 ans. La claque. J'ai 45 ans mais c'était comme si j'en avais eu le double, sur le coup. Le divorce a fini par être prononcé et je dois reconnaitre que Samuel a été réglo. On se partage la garde des enfants qui, il est vrai, n'ont plus l'âge des couches culotte, heureusement. Mais j'ai quand même eu du mal à m'en remettre. Il m'a fallu trouver un boulot car je me reposais un peu trop sur mon julot et son travail de cadre sup. Je bosse dans une épicerie bio avec Caroline, la patronne, devenue une véritable amie. Elle a mon âge, Caro, elle est brune alors que je suis blonde, on a un peu le même corps, ni gros ni maigre, j'ai juste un peu moins de seins et de fesses qu'elle, mais surtout, elle est mariée et bien mariée avec Gaston, un petit mec costaud qui la fait jouir. Elle en parle souvent pour m'exciter, pour m'obliger à sortir de ma torpeur sexuelle où je me suis enfoncée après ma rupture.
    
    Complètement dégoûtée des mecs, j'étais. Pas au point de devenir gouine, mais pas loin. Caro, furieusement hétéro, m'a invitée un soir chez elle pour me présenter à un copain, libre comme moi. Sympa, le copain, mais pas vraiment mon genre. Un peu trop lisse, pas assez de poils, j'aime les mecs sexués. Ce soir là, on a tellement picolé que j'étais à moitié bourrée quand le gars m'a entrainée dans la chambre d'amis de Caroline, comme elle l'avait prévu. Sylvain, le copain en ...
    ... question, était aussi bourré que moi et après deux ou trois aller-retours très mous, il s'est effondré sur le plumard et s'est mis à ronfler. Dans la chambre d'à côté, Caro et Gaston baisaient comme des dingues et j'ai pris un vrai coup de vieux. Plus bonne à rien, la nana. Quand Caro a crié "mets-la moi dans le cul maintenant", j'ai pris mes cliques et mes claques et je me suis taillée, en voleuse. Je n'ai plus vu un mec depuis.
    
    Mais là, maintenant, j'avoue que ça commence à me manquer. Quand je vois un type bien balancé entrer dans l'épicerie, j'ai tendance à l'imaginer entre mes cuisses. C'est nouveau. Caroline s'en est aperçue et m'encourage : "vas-y, qu'est-ce que tu as à perdre ?" me répète-t-elle.
    
    Ce que j'ai à perdre ? Ne pas être à la hauteur. Rester froide. Déçue. Et pourtant, mes rêves sont de plus en plus érotiques. Cela fait quand même un an qu'on ne m'a pas léché le minou, que je n'ai pas regardé une bite entrer et sortir de ma chatte, que je n'ai pas avalé de sperme, mon pêché mignon. L'autre nuit, je me suis réveillée en sursaut. Je rêvais qu'une espèce de faune barbu et velu m'enculait. Là, j'ai compris qu'il fallait faire quelque chose. C'était maintenant une question de santé mentale autant que physique. J'en ai parlé à Caroline qui m'a dit simplement : "il faut que tu baises". Et d'expliquer qu'il me fallait laisser de côté le renouvellement d'un couple pour me concentrer sur le cul. : "Baise d'abord, le reste viendra ensuite, si tu le veux vraiment, ...
«1234...»