1. Marie voulait aller danser.


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: ahtile, Source: xHamster

    ... de ne pas l’entendre hurler sa douleur à toute la forêt. Elle me regarde par dessus son épaule, un petit sourire illumine son visage et me dit :
    
    « Je n’avais jamais imaginé que tu puisses entrer si facilement par là, tu aurais dû me forcer la main il y a bien longtemps. Tu dois être rassuré maintenant, alors lâches toi, je veux que tu me casses le cul bien comme il faut. » et sans me regarder ajoute, comme pour m’encourager:
    
    « Aller en avant mon cœur, fais toi plaisir, encules la petite salope que je deviens pour toi. »
    
    Sur ces mots, je retire la partie de ma queue déjà en elle, ne laissant que le gland distendre sa fleur, puis par un violent coup de rein vers l’avant encouragé par un râle d’homme des cavernes, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde lui faisant lâcher un puissant gémissement de bonheur. Aucune résistance, ma queue glisse en elle comme dans une motte de beurre, la sensation est aussi agréable qu’inattendue. Je m’active en elle et les seuls sons qu’elle émet sont des gémissements. Marie est plus large du cul que du vagin, c’est incroyablement délicieux. Je peux même dire que je suis très alaise, mes vas et viens vont bon train, je la pilonne puissamment et mon plaisir est décuplé par ses gémissements. Je regarde mon pieu s’enfoncer entre ces petites fesses, je me retire et découvre son anus ouvert, bien rond, bien large tel un gouffre dans lequel je replonge aussitôt. ...
    ... Mes bourses se tendent, la chaleur monte de mon sexe jusqu’à mon cerveau, la sève file dans mon manche jusqu’à l’éruption finale en se répandant par plusieurs jets de lave brulante dans l’intestin de Marie. Le raz de marrée qui l’inonde lui fait atteindre un orgasme encore inconnue et d’une puissance rare, elle hurle de plaisir, insulte tous les dieux, supplie pour que le plaisir ne s’arrête jamais puis s’effondre sur le capot de la Golf, les sphincters crispés et resserrés autour de ma queue qui semble vouloir rester bien au chaud jusqu’à ce que mort s’en suive. Il me faut attendre plusieurs minutes dans cette position et attendre que mon sexe retrouve un repos total pour enfin l’extraire de cet anus qui a reprit sa taille originelle.
    
    Je repositionne la ficelle du string entre les deux fesses de Marie, remet en place sa petite jupe de cuir noir, relève la belle et l’embrasse tendrement. Elle est vidée, totalement détendue, me rend mon baiser et me dit :
    
    « Mon cœur, j’ai vraiment adoré cette baise »
    
    « Moi aussi ma puce, je t’ai connu clitoridienne par défaut, je t’ai rendu vaginale et te voilà maintenant annale. »
    
    « Me voilà parfaite » me dit-elle avec un immense sourire.
    
    « Oui, je crois qu’on peut le dire. Et maintenant, allons diner. »
    
    « Avec plaisir, tout ça m’a ouvert l’appétit. »
    
    Nous nous installons dans la voiture et reprenons la route vers le restaurant.
    
    A suivre…. 
«12345»