1. Marie voulait aller danser.


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: ahtile, Source: xHamster

    ... je passe à l’étage pour me préparer. Depuis mes débuts professionnels, les affaires marches correctement et grâce à mon travail, j’ai réussi à acheter la petite maison de ville où était mon bureau et y avais élu domicile après quelques gros travaux. Une fois douché, rasé, parfumé et habillé, je saute dans ma Golf et file vers le domicile de Marie. Je décide de me garer sur le parking dans le village et lui envoi un message lui donnant ma position. Trois minutes plus tard, elle arrive avec sa voiture, se gare et en descend. Elle m’apparaît resplendissante, maquillée comme rarement je ne l’ai vu, sans exagération, un maquillage fin et délicat qui met en valeur ses immenses yeux de biche. Elle porte un ensemble, blouson et jupe de cuir noir, un chemisier rouge très décolleté laissant entrevoir la dentelle de son sous vêtement de la même couleur, des escarpins assortis ainsi que des bas noirs. Elle me sourit, monte dans ma voiture, me pose un baiser sur les lèvres, attache sa ceinture de sécurité et me dit :
    
    « Je suis aux anges, tellement heureuse, c’est notre première soirée ensemble. »
    
    Tout en prenant la route, je me dis qu’effectivement notre relation n’était basée que sur les rencontres du mercredi après-midi. Je lui dis :
    
    « Puisque c’est notre première soirée, qu’est ce qui te ferait plaisir ? »
    
    « Tout ce que tu voudras, ce soir je me sens libre, femme et tienne. Henry sait que je ne rentrerai que demain.»
    
    « Tu lui as dis que tu ne dormais pas chez toi ? ...
    ... »
    
    « Oui, je n’en pouvais plus de mentir, je lui ai dit que j’avais un amant avec qui je prenais mon pied et qui me faisais me sentir femme. »
    
    « Oh merde, ça a dû être un choc pour lui, non ? »
    
    « Non, il n’a dit qu’il s’en doutait, qu’il était désolé, qu’il me comprenait car il m’aimait plus que tout au monde mais qu’il ne savait pas me rendre heureuse. Il m’a fait pleureur ce con ! »
    
    « Il t’a demandé qui était ton amant ? »
    
    « Non, rien, il n’a simplement souhaité de prendre du plaisir et de revenir, au moins pour les enfants. Je l’ai rassuré et lui ai dit que pour moi, comme pour toi,sans te nommer, il n’est pas question de briser notre couple. Pour moi, aller voir ailleurs, c’est combler le manque sexuel et rien d’autre.»
    
    Je la regarde d’un air dubitatif, elle me regarde et reprend avant même que je n’ouvre la bouche.
    
    « Là, j’ai un peu menti, au fond de moi je sais que je t’aime, mais nous savons tous les deux que ta vie est ailleurs, avec une femme, des enfants, pour moi c’est fait et je n’imagine pas séparer mes enfants de leur père. »
    
    Elle sort un mouchoir en papier, rabat le pare-soleil et essuie délicatement les larmes qui font couler son rimmel. Elle me regarde avec un sourire un peu forcé et me dit :
    
    « Voilà, je ne ressemble plus à rien, moi qui m’était faite belle pour toi. »
    
    « Tu es belle au naturel, tes yeux n’ont besoin d’aucun artifice »
    
    Nous roulons tranquillement en direction du bord de mer, par des petites routes sinueuses au milieu ...
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