Marie voulait aller danser.
Datte: 19/07/2019,
Catégories:
Anal
Mature,
Première fois
Auteur: ahtile, Source: xHamster
Il est 7h30 du matin, je viens d’arriver au bureau, j’ai une tasse de café à la main quand mon mobile bipe, un sms vient d’arriver. Je me saisi de mon Erikson GH337, rien à voir avec les smartphones d’aujourd’hui, et je lis :
« Coucou mon cœur, serais tu dispo pour m’emmener danser samedi soir. Marie »
Cela faisais environ deux ans que notre relation avais commencé, et savais que Marie adorait danser, qu’Henry n’aimait pas ça, et que cela faisait parti des nombreux reproches qu’elle lui faisait. Il était devenu, après avoir été le père de leurs deux enfants, le colocataire. Elle avait surtout pitié de cet homme qu’elle avait profondément aimé et qui aujourd’hui n’était plus que le père de Laura et Vincent. Elle acceptait malgré tout, quelques rapports occasionnels, toujours par pitié, mais disait qu’il s’agissait du devoir conjugal. Il n’aimait rien de ce qu’elle aimait, ni la danse, ni les sorties randonnées, ni les soirées entre amis, ni même le sexe et cela depuis toujours.
Jusqu’à notre rencontre, ou plutôt jusqu’au le début de notre relation, Marie s’organisait avec quelques amies, puis sa sœur depuis leurs mutations, pour aller marcher, danser, sortir. Mais pour le sexe, rien, malgré les incitations de quelques copines moins farouches, elle s’y refusa. Pourtant elle lui reprochait systématiquement de ne pas avoir eu de plaisir, que leurs rapports étaient trop court et que même si son sexe n’était pas très gros, il n’était surtout pas très dur. Les rapports ...
... duraient quelques minutes, ne comportaient pas de préliminaire, si ce n’est les courtes fellations que Marie lui prodiguait pour lui permettre d’avoir une érection acceptable. Courtes, car les fois ou elle essayait d’obtenir mieux, il éjaculait sans crier gare dans sa bouche. Non pas que l’éjaculation buccale la dérangeait, mais le manque d’attention envers elle, le fait qu’il s’endorme comme un bébé après son biberon, sans lui faire le moindre câlin, lui devenait insupportable. Comme elle disait, « c’est moi qui tète, c’est lui qui dort ! ».
Donc, ce matin là, à la réception de son message, je lui répondais :
« Ok, je m’organise et passe te prendre vers 20h, je t’emmène diner avant d’aller danser »
« Génial, je n’en espérais pas tant, mais avec grand plaisir. Doux baisers. Marie. »
Je devais m’organiser, car comme le savait Marie, j’entretenais une nouvelle relation avec une copine dite « la régulière » depuis quelques mois et je devais trouver un prétexte pour sauter un week-end. Le week-end étant les seuls moments ou nous pouvions nous retrouver puisque Valérie travaillait à la Capitale. Je n’ai pas eu besoin de mentir, c’est elle qui m’appela, alors que je tentais d’élaborer un plan, pour m’annoncer qu’elle serait bloquée à Paris le samedi et ne descendrait pas à Marseille pour une journée. Cet imprévu m’arrangeait bien, mais je faisais mine d’être déçu en lui disant qu’il me tardais d’être le week-end suivant.
Le samedi, après une journée de travail au bureau, ...