1. Marie voulait aller danser.


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: ahtile, Source: xHamster

    ... des bois, Marie une main posée sur ma cuisse, le regard vague, fixé sur la route qui défile. Elle me regarde et me dit de but en blanc :
    
    « Arrêtes toi dès que tu peux, je veux que tu me baises tout de suite »
    
    Je la regarde, interloqué, elle ne m’a pas habitué à de telles paroles. Marie est d’un naturel timide et réservé, jamais un mot grossier, sauf peut-être pendant l’amour, et un ton toujours bien à-propos. Là, tout était bien différent.
    
    « Tu veux faire l’amour maintenant ? » lui dis-je comme pour corriger son dérapage verbal.
    
    « Non, je ne veux pas faire l’amour. Je veux que tu me baises comme une salope, comme une trainée, comme une pute. » Me répondit-elle avec un regard noir et un ton très directif.
    
    Je quitte donc la route principale pour un petit chemin forestier sur lequel j’immobilise la voiture, devant une barrière DFCI. Marie retrouve lentement le sourire et ses yeux recommencent à pétiller. Je sort de la voiture, la contourne, et viens ouvrir la portière passager. Marie se lève et remonte sa jupe jusqu’à la taille, me faisant découvrir son petit string rouge qui dissimule avec peine son abricot gonflé. Elle claque la portière, pose une main sur le capot de la Golf, de l’autre, écarte son string et d’un signe de la tête me fait comprendre que c’est à moi de jouer. Je dégrafe ma ceinture, déboutonne mon 501, le fait glisser en même temps que mon caleçon jusqu’aux genoux. Impatiente, Marie me lance :
    
    « Aller, dépêches toi un peu, j’ai envie de me ...
    ... faire défoncer, aller viens, prend moi directement, viens vite. »
    
    Et, c’est sans autre forme de procès que je me suis introduit violemment dans sa petite chatte serrée, la faisant hurler de douleur. Malgré son excitation bien visible et une lubrification naturelle abondante, Marie était particulièrement étroite, en temps normal, il me fallait de longs préliminaires pour la détendre suffisamment et la pénétrer sans douleur. Là, je forçais les chairs intimes et fragiles de son fruit d’amour. Comprenant bien que j’étais inquiet sur son état, elle me regarda par dessus son épaule et me dit :
    
    « Mon chéri, ne t’inquiètes pas, ça va aller, vas y, défonce moi à fond, fait moi jouir comme jamais »
    
    Rassuré par ces quelques mots qui m’excitaient autant qu’ils me surprenaient, je posais mes mains sur ses hanches et commençait à manœuvrer en profondeur. Elle criait, criait et criait encore à chacun de mes déplacements en elle. Son sexe était si crispé que j’avais l’impression de la violer. Sans cesse, elle me regardait et me demandait d’accélérer. Je la prenais comme jamais, de plus en plus vite, de plus en plus profond, de plus en plus violemment. Son corps était secoué, chacune de mes pénétrations la soulevait du sol, ponctué par un cri, des cris dont la tonalité était en train de changer, ils n’étaient plus les mêmes. La douleur avait quitté son corps, elle avait fait place au plaisir. Les cris étaient devenus des gémissements, son sexe s’était détendu et son fruit de plus en ...