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Agréables vacances
Datte: 22/09/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: la catin, Source: Hds
... avec plein de petits smiley grimaçants. La réponse arriva aussitôt : « Ne t’inquiète pas, j’ai l’habitude ». J’aurais aimé qu’il me donnât plus de renseignements… sur l’heure et le lieu, mais peut-être ne voulait-il pas que j’angoisse inutilement. Le soir lorsque Suzanne posa quelques chips sur la table pour l’apéro, Marc ne s’était toujours pas décidé et je pensai qu’il avait renoncé. J’en fus soulagée et aussi un peu déçue, je crois. — Je bois un coup vite fait, lança Paul, car la finale va commencer. Je le regardai perplexe et Marc me renseigna : — C’est les internationaux de je ne sais pas trop quoi, en tennis. Paul et sa mère ne ratent jamais une finale. Ça va nous laisser du temps. Nous laisser du temps ? Oh, mon Dieu ! Je réalisai soudain et l’angoisse revint. Marc me resservit un verre de Sauternes que je vidai d’un trait. — Ça fait déjà trois, me dit-il en souriant. Mais c’est bien, ça lève les inhibitions. Il remplit à nouveau mon verre. J’avais la tête qui tournait un peu mais j’étais plus sereine. L’angoisse avait peu à peu disparu. Je vidai le Sauternes cul sec puis je tendis mon verre. — Non ! fit Marc. Ça suffit. Je veux que tu sois parfaitement consciente. J’éclatai soudain de rire et il posa la main sur ma bouche. Il me souleva par le bras et comme je chancelais, il me porta jusqu’à la grange où il me déposa derrière un amoncellement de bottes de paille avant de retourner fermer la porte. Je riais encore ...
... lorsqu’il entreprit de me mettre nue. — Tu es belle. — Oui et complètement pompette ! Répliquai-je. Lorsqu’il retira son caleçon je m’écriai : — La vache, elle a encore grossi. Puis j’éclatai une nouvelle fois de rire en ajoutant : elle va jamais rentrer. — Bien sûr que si, fit Marc mais il faut que je sois bien dur. Il me saisit par les cheveux. — Suce ! Je ne me fis pas prier et je le pompai goulûment. — Ça suffit, fit-il bientôt en se retirant. Il me retourna et me courba sur une botte de paille puis il frotta sa queue sur ma chatte pour la lubrifier. Je frissonnai lorsque je sentis son gland forcer mon anus. Il poussa très lentement puis soudain je ressentis une légère douleur qui ne dura pas lorsqu’il franchit ma rondelle. Il se retira un peu puis massa mon anus avec sa bite et il me sembla que les muscles se détendaient. Dès cet instant des sensation exquises affluèrent. C’était différent de tout ce que je connaissais. Différent des caresses sur ma chatte. Différent des pénétration habituelles. Pas meilleur mais différent. Chaque fois qu’il ressortait son gland pour s’enfoncer à nouveau, je frissonnais. Puis je compris pourquoi j’avais tant de sensations : mon fourreau était très étroit et sa verge en pressait fortement les parois. Après un moment je m’envolai en me demandant si j’allais jouir. J’en avais envie, comme j’avais envie de lui donner du plaisir. Alors lorsqu’il souffla : — Tu es très étroite, c’est bon. Je poussai les ...