1. Agréables vacances


    Datte: 22/09/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: la catin, Source: Hds

    ... s’il se rendait compte que je n’en n’avais pas car, bizarrement « vieille France » pour son âge, il prétendait que seules les filles faciles avaient l’audace de ne pas porter de sous vêtements.
    
    Etais-je une fille facile ? En un sens, je crois que oui, mais sans doute pas comme il l’entendait.
    
    Durant toute la journée, chaque fois que je croisais Marc je m’attendais à ce qu’il glisse la main sous ma robe. J’espérais aussi qu’il me fixerait un rendez-vous pour me faire l’amour. Qu’il m’obligerait avec son autorité virile à me donner à lui.
    
    J’étais certaine qu’il me ferait connaitre alors une jouissance formidable.
    
    Au dîner je me sentis vexée qu’il n’ait pas cherché à savoir si je lui avais obéi.
    
    Le lendemain j’hésitai longuement en m’habillant puis lorsque Paul eut quitté la chambre je troquai finalement ma robe contre une jupe courte et un chemisier fleuri et je laissai culotte et soutien gorge dans leur tiroir.
    
    Il serait sans doute facile à Paul de se rendre compte de leur absence, mais tant pis, je voulais plaire à Marc.
    
    Je profitai d’une discussion animée entre Paul et sa mère pour le rejoindre dans son atelier.
    
    — Je peux vous aider ? lançai-je d’un air innocent.
    
    — Approche, répliqua-t-il.
    
    J’avançai jusqu’à lui et m’arrêtai de l’autre coté de l’établi.
    
    Il saisit un rabot pour rectifier un pied de chaise puis soudain lança :
    
    — Déboutonne ton chemisier.
    
    Je crois que j’attendais cet ordre depuis que j’avais quitté ma chambre et je ...
    ... m’exécutai aussitôt.
    
    — Penche-toi.
    
    J’obéis et il avança la main pour écarter le décolleté.
    
    — Joli ! Apprécia-t-il après avoir reluqué mes seins.
    
    Je restai immobile. J’attendais qu’il les touche, mais rien.
    
    Il me regarda dans les yeux, donna encore deux coups de rabot puis me fit frémir en ordonnant :
    
    — Viens me sucer.
    
    Je le regardai, interdite, et il ajouta :
    
    — Viens te mettre sous l’établi.
    
    Il me regarda avec une telle intensité que je n’eus pas la force de lui désobéir.
    
    Je me contorsionnai et trouvai une place somme toute, assez confortable.
    
    — Débrouille-toi, ajouta-t-il.
    
    Que voulait-il dire ?
    
    Lorsqu’il reprit les amples mouvements du rabot je compris. Je déboutonnai sa braguette et sortis sa queue. Elle se dressa aussitôt.
    
    — Tu ne fais pas de fioriture, j’ai juste envie d’être pompé.
    
    Je m’exécutai en proie une nouvelle fois au trouble qui m’avait assailli sur le rocher.
    
    Il n’y avait pas cinq minutes que je m’activais, lorsque j’entendis la voix de Paul :
    
    — T’as pas vue Clara ? (c’est moi).
    
    — Non, répondit Marc.
    
    Je m’étais arrêtée, attendant le départ de Paul mais Marc en me pressant la tête contre sa verge me fit comprendre de continuer. Ce que je fis.
    
    Il demeura impassible lorsqu’il jouit et je dus attendre encore dix minutes que Paul fut parti pour sortir de ma cachette.
    
    Lorsque je me redressai Marc m’empoigna les seins et les malaxa.
    
    C’était bon une poigne d’homme ! Paul, lui, se contentai de les toucher du bout ...
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