Agréables vacances
Datte: 22/09/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: la catin, Source: Hds
Je n’oublierai jamais l’été de mes 20 ans qui me fit rencontrer Paul, un beau blond, doux et câlin.
Moins d’une semaine après notre premier baiser il m’invita dans la propriété de ses parents au Cap Ferret.
Je fis donc la connaissance de sa mère, Suzanne, un peu empesée par les ans, et de son père Marc, un bel homme athlétique au regard céruléen. Je fus immédiatement envoûtée par son charme. Il était souriant, enjoué et d’une bonne humeur communicative.
Paul me fit découvrir toutes les merveilles environnantes et nous partions souvent la journée entière.
Un soir, alors que j’étais sortie dans la moiteur de la nuit tombante pour fumer une cigarette, un bruit attira mon attention. Il venait, me sembla-t-il, de la douche extérieure qu’utilisait volontiers Paul et attendu que j’avais croisé ses parents en sortant, ça ne pouvait donc être que lui.
Bien décidée à le surprendre, un sourire mutin aux lèvres, je m’approchai à pas de loup et je poussai délicatement la porte en bambou.
Je me figeai. C’était Marc, le père de Paul !
Je m’en retournai aussitôt, silencieusement, et terriblement honteuse car j’ignorais s’il m’avait aperçue.
Le lendemain, nous partîmes tous les quatre à la plage où, profitant de l’absence de sa femme et de son fils, partis se baigner, Marc me dragua sans vergogne.
Ses questions, ses compliments, ses allusions, me mirent le feu aux joues.
Heureusement les absents réapparurent bientôt.
— Elle est bonne, déclara Paul en ...
... s’allongeant sur sa serviette. Tu devrais y aller ma puce.
Je ne jugeai pas utile de répondre et préférai me replonger dans mes pensées car Marc venait par ses propos de me troubler profondément. Je trouvais en lui la maturité, l’expérience, l’autorité, que Paul n’avait pas.
Marc discuta avec son épouse, jusqu’à ce qu’elle imite Paul en se positionnant sur le ventre.
Il en profita pour me saisir le poignet et amener ma main sur son maillot. Je sentis aussitôt son sexe frémir sous l’étoffe. J’aurais dû immédiatement retirer la main, car même si Marc me maintenait le poignet, je sentais sa prise faible. Pourtant je me contentai de fermer les yeux, sentant sous ma paume son sexe durcir.
J’avais les joues en feu et il me semblait que l’incendie se propageait. Marc imprima à ma main de doux mouvements puis, lentement, il la fit glisser à l’intérieur de son slip. Je frémis, et je sentis aussitôt ma chatte couler.
Lorsqu’il lâcha mon poignet, je laissai la main sur sa queue qui palpita dans ma paume. Ce fut une sensation d’une puissance érotique inouïe que je n’avais jamais connue, ni avec Paul, ni avec d’autres garçons. Il est vrai que je n’avais que vingt ans, et je me fis la réflexion qu’avant de vouloir tomber amoureuse, j’aurais dû fourbir mes armes avec un homme mature qui m’aurait enseigné l’art de la luxure.
Je me laissai bercer par cette certitude qui éveilla en moi des désirs nouveaux et je réalisai à peine que je bougeais les doigts.
Je retirai prestement ma ...