1. Agréables vacances


    Datte: 22/09/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: la catin, Source: Hds

    ... main lorsque Paul se retourna puis je me levai d’un bond pour courir jusqu’à la mer pour y noyer la tache de ma culotte.
    
    Deux heures plus tard, Suzanne et Paul disputèrent un match de tennis sur le terrain parsemé de touffes d’herbes, en contrebas de la maison.
    
    Je me retrouvai alors, seule, en compagnie de Marc, torse nu et en short, qui vint s’allonger dans le relax près de moi.
    
    Il n’attendit pas longtemps pour réitérer les gestes qu’il avait fait sur la plage et lorsque ma main glissa dans son short je sentit que rien d’autre ne protégeait son intimité.
    
    — C’est plus pratique qu’avec le maillot, tu ne trouves pas ? fit-il sans tourner la tête.
    
    Je demeurai silencieuse, la main immobile. Toutefois lorsque pour me taquiner il contracta son périnée son sexe frémit à nouveau sous ma paume et un tsunami de frissons déferla sur ma peau.
    
    — J’adore qu’on me touche les boules, murmura-t-il, toujours sans me regarder.
    
    Sa demande me chauffa les joues. Toutefois je ne souhaitais pas satisfaire son désir car j’étais consciente que si je cédais, j’allais plonger dans un engrenage sensuel duquel il me serait peut-être difficile de sortir.
    
    Je ne voulais pas, mais mes doigts ne m’obéissaient plus. Il descendirent lentement et se refermèrent sur les grosses bourses de Marc qui laissa échapper un gémissement, puis, alors que dans un superbe effort de volonté j’étais, pour le salut de mon âme, décidée à m’enfuir, il baissa son short jusqu’aux genoux.
    
    Je me mordis la ...
    ... lèvre lorsque je vis sa queue dressée comme un pieu. Elle était longue, épaisse, et enflamma le désir que jusqu’alors, je repoussais. Sans en avoir réellement conscience, je la saisis, et le feu au ventre je masturbai Marc qui bougea juste à temps pour éjaculer dans l’herbe, quelques secondes seulement avant que Paul et sa mère ne reviennent.
    
    — Qu’est-ce qui se passe, tu es toute rouge ma puce ? fit Paul.
    
    — Heu, rien, rien, j’ai… Heu… Un peu chaud, bafouillai-je.
    
    Il n’insista pas.
    
    Durant toute la soirée, honteuse de ce que j’avais fait, je fuyais le regard de Paul auquel, quelques heures plus tard, je me refusai pour la première fois. Heureusement il mit cela sur le compte de la fatigue.
    
    La journée du lendemain se déroula sans la moindre équivoque mais le surlendemain je fus à nouveau prise au piège.
    
    Paul avait accompagné sa mère en ville et je me prélassais sur un rocher chauffé par le soleil. Il y avait plus confortable me direz vous ; certes, mais de ce promontoire la vue était splendide sur la mer, et j’y passais toujours une heure ou deux en milieu d’après midi lorsque la lumière me paraissait la plus belle. Marc le savait et il n’eut donc aucune difficulté à me trouver.
    
    Il arriva ruisselant, la serviette de plage autour du cou.
    
    — Je viens de faire une dizaine de longueurs dans la piscine, ça fait du bien.
    
    Tandis qu’il s’essuyait, je le regardai attentivement et je le trouvai encore plus beau que les jours précédents. Son charme, un instant, noua ...
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