Agréables vacances
Datte: 22/09/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: la catin, Source: Hds
... ma gorge.
Soudain, sans aucune gène il se débarrassa de son slip de bain, se sécha et sourit.
— Je crois que tu as déjà tout vu.
Je ne répondis pas mais le feu me chauffa les oreilles.
Il étendit sa serviette sur le sol et je crus qu’il allait s’allonger. Au lieu de cela il s’approcha de moi, me saisit par les cheveux et ordonna :
— Suce !
Non ! Il ne fallait pas. Je ne voulais pas !
J’étais crucifiée entre le refus et l’envie.
Ce fut le désir qui l’emporta lorsque je sentis sa queue frémir sur mes lèvres et j’ouvris la bouche.
L’autorité de Marc avait anéanti ma volonté en l’espace de quelques secondes. Il demandait ce qu’il voulait, virilement, comme un homme, et c’est ce qui manquait à Paul.
Je gobai le gland luisant de désir et je suçai du mieux que je le pus, car, bien que consciente de mon inexpérience, je voulais donner un maximum de plaisir à cet homme et qu’il fut le père de Paul, en ces minutes licencieuses,
ne me troublait plus.
—Touche-moi les couilles.
Le mot vulgaire, chargé de désir, exacerba mes sens, et je plongeai la main vers ses lourdes bourses que je ne lâchai plus.
J’étais très excitée et le ventre en feu et la culotte trempée, je serrai davantage les lèvres et me mis à pomper plus activement.
Je laissai Marc décharger dans ma bouche et sans trop savoir pourquoi, j’eus l’envie d’avaler sa semence.
C’était la première fois que je faisais ça !
Le cri de bête qu’il poussa en éjaculant me combla de bonheur. ...
... Moi, la jeune femme inexpérimentée, j’avais fait hurler de plaisir un vrai mâle.
Mon ressenti fut tellement fort que j’eus la sensation d’avoir joui.
Etrangement je ne fus pas troublée le reste de la journée, et je me sentais heureuse et détendue comme si… comme si j’avais fait l’amour.
Lorsque cette pensée traversa mon esprit je sus que si Marc en avait envie un jour, je ne refuserai pas.
Dans la nuit je me donnai à Paul avec une fièvre qui le surprit. Toutefois je ne trouvai pas dans la fellation que je lui prodiguai, l’excitation et le plaisir que j’avais ressenti avec son père et, curieusement, je n’éprouvais aucune culpabilité d’avoir franchi cette barrière morale qui aurait dû me retenir.
Il me sembla même que j’avais encore, par moments, le goût de la queue de Marc sur les lèvres.
Le lendemain au petit déjeuner je sursautai et je renversai une partie de la cafetière que je posais sur la table, en sentant la main de Marc sous ma robe.
— Qu’est ce qui se passe ma puce, s’inquiéta Paul.
— J’ai heu… Heurté le pied de la table.
En un éclair, Marc venait de réveiller les démons de la veille et par prudence je vins m’installer à côté de Paul.
Lorsque je croisai Marc un peu plus tard dans la cuisine il lança :
— Je ne veux plus que tu portes de culotte.
Figée par la surprise je ne sus que répondre et un quart d’heure plus tard je lançai mon sous vêtement dans la panière à linge.
Je me demandai quelle explication je pourrais fournir à Paul ...