L'ascenseur
Datte: 22/09/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Theovanquint, Source: Hds
... oublier.
« Oh mon dieu oui. Baise-moi. S'il te plaît, baise-moi. Si je dois mourir, alors en faisant ça. Baise-moi ! J'ai tellement peur, tellement peur. Baise-moi. » Sa voix était effrayée, commandante, implorante et conjurante à la fois. Elle s’élança d’un mouvement soudain contre moi, écrasant sa bouche contre la mienne aussitôt, m'embrassant désespérément en happant avidement dans mon visage de dents affamées, bec et ongles, pendant qu'une cuisse cherchait le réconfort incertain de mon sexe. Je descendis une main et tirai sa culotte en dessous de ses hanches et de ses fesses, et d’une autre main dégriffai le soutien-gorge. La sensation de ces nichons nus, les mamelons durs contre ma peau nue était accablante comme l’était la chaleur moite de sa chatte qui frottait ma bite. « Baise-moi. Mets-moi ta queue », haleta-t-elle d’une voix suppliante et rauque dans mon cou et contre ma joue.
Elle s'était déjà couchée sur le dos sur le sol et me tira sur elle, tellement qu’elle avait hâte de m’avoir en elle. J'avais hâte d'être en elle. Sa main prenait possession de mon sexe gonflé et sans plus d'introduction, elle me conduisit à l'intérieur, dans les entrailles de son sexe à elle. Mais même dans ce moment, malgré sa peur, dans son abandon spontané, son expérience sexuelle ne s’oubliait pas, car au moment où je la pénétrai, le muscle entraîné de sa chatte pétrit ma bite.
C’est dans cette petite pièce, dans l'air gâté, dans la puanteur de son urine et de sa sueur, dans ...
... l'odeur exquise de peur, que je l'ai baisée. Le désir d’oublier sa peur la rendait incroyablement chaude. Malgré tous les efforts que je mettais à la baiser avec toute ma vigueur de mâle en érection, ses poings se sont néanmoins mis à battre sans relâche sur mon dos ou m'ont poussé sur les fesses car je ne pouvais jamais être assez dur et assez profond. Avec un mouvement de hanche agile, elle a renversé les rôles, s'est assise sur moi sans laisser mon sexe s'échapper du sien, puis a commencé à me chevaucher comme une furie déchaînée, sortie de l’enfer de mes phantasmes les plus libidineux. Ses nichons étaient effrayants dans la fureur frénétique avec laquelle ils frappaient le haut de son corps nu comme des poings, s’entrechoquaient, se percutaient et se heurtaient comme des jumelles ennemies, comme s’ils se haïssaient, ses aréoles des tâches de sang qui se répandaient en s’élargissant dans des cercles qui allaient en s’agrandissant toujours plus sur la surface de ses seins tandis que la râpe de sa chatte dans une haine impitoyable de chair contre chair continuellement raclait et écorchait ma bite jusqu'à ce que ce soit juste un nerf cru.
Mais sa propre frénésie a également échoué. Elle s'est débarrassée de ma queue douloureuse et de mes couilles douloureuses et s'est mise à quatre pattes, le cul et la chatte en l’air comme si elle avait finalement devinée ma fantaisie de toute à l’heure, quand je ne faisais que devenir sa chaudeur que je savais vraie maintenant, son visage ...