J'ai une remorque et j'aime ça.
Datte: 21/09/2024,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
grp,
inconnu,
Collègues / Travail
jardin,
parking,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
attache,
délire,
Humour
occasion,
Auteur: Cormobin, Source: Revebebe
... est un peu chargée. Soudain, je l’aperçois :
— Chouette, il est là.
— Qui ça ?
— Mon baiseur
— Tu l’appelles comme ça ?
— Bien obligée, je ne connais pas son nom.
— Tu es folle
Je m’approche de lui :
— Bonjour
— Bonjour à vous
— Je vous présente mon amie
Il se renfrogne un peu en voyant Louise, pourtant charmante.
— Je vous rassure, ce n’est pas contre vous, c’est juste que j’ai pensé que j’aurai besoin d’un peu d’aide.
— Je vous ai fait peur ?
— Non, mais, je veux pouvoir me concentrer sur vous, et avoir quelqu’un qui me surveille…
— Qui vous surveille ?
— Oui, au cas où j’aurais de nouveau un malaise.
— Vous avez peur d’avoir un malaise ?
— Au contraire, j’aimerais bien en avoir un, comme l’autre jour. Je compte sur vous.
Petit sourire, pas trop aguicheur, mais je veux qu’il soit en confiance.
— Vous me suivez ?
— Oui, cinq minutes, je charge ma remorque et on se retrouve. Attendez-moi sur le parking.
Je file à ma voiture, avec Louise.
— C’est vrai qu’il est pas mal.
— Ah, tu vois, et il me baise très bien. J’ai juste eu un peu à lui expliquer.
— Lui expliquer quoi ?
— Oui, tu sais, des fois, quand tu débutes une relation, il te faut quelques séances au lit pour que ton mec comprenne comment tu fonctionnes. En fait, en pratique, il faut que toi tu comprennes comment il fonctionne pour que tu lui expliques, sans le vexer, ce que tu attends de lui.
— Et avec ton baiseur, comme tu dis ?
— Là, je lui ai expliqué dans les cinq ...
... premières minutes. Rien à cirer de le vexer, je ne le connais pas, je ne sais même pas comment il s’appelle. Et au moins, on est allé à l’essentiel de suite.
— Oui, mais il a tout de même fallu que tu le branles.
— C’est pour ça que tu es là. Pas pour le branler, mais pour qu’il soit là pour ce qu’il doit faire, me baiser, et pas me ranimer, en me mettant une baffe.
Je le vois arriver. Petit signal avec les warnings et nous voilà repartis. Ma remorque est chargée, et je dis à Louise :
— Tu vois, la remorque chargée, je mouille encore plus que tout à l’heure.
Je prends le même chemin, le même délaissé. Il n’y a personne, parfait. Tiens, si on recommence, faudra sans doute que je choisisse un autre endroit.
— Vous allez bien, sinon ? On peut recommencer ?
— Vous êtes très directe. Mais oui, je suis là.
— Je vais pimenter un peu, si vous voulez. Louise, tu as les tendeurs ?
Je le vois frémir. Il recule un peu.
— Non, c’est pour moi, ne vous inquiétez pas. Je ne vous ai pas expliqué, mais d’habitude, je ne suis pas comme ça. C’est ma remorque qui me met dans des états pareils. Là, j’ai envie d’aller plus loin. Mon amie va m’attacher et vous allez me baiser, d’accord ?
— Euh, c’est tout de même étrange, mais oui, je vais le faire.
— Parfait.
Aujourd’hui, je suis en robe. J’enlève ma culotte, elle est trempée, et je me dirige vers l’arrière de la voiture, près de l’attache de la remorque et je dis à Louise :
— Essaie de m’attacher au timon.
Je me ...