J'ai une remorque et j'aime ça. - Histoires de Sexe

J'ai une remorque et j'aime ça.

... cramponne à la pièce métallique. Louise enroule un tendeur autour de mes poignets et le passe dans le timon.

— J’aurais dû prévoir des gants. Mais ça va aller. Ne tends pas trop.
— Là, ça va ?
— Oui. Maintenant, ne me laisse pas tomber.
— Pas de souci, je suis là.

Je me retourne vers mon baiseur :

— Allez-y.

Il s’approche. Il hésite.

— Allez, j’attends, je vous ai dit pas de préliminaires, je suis trempée.
— Attendez un peu, ce n’est pas pour vous, c’est pour moi, je ne suis tout de même pas une bite sur pattes !

Je sens qu’il me relève la robe. Il me fait une bise sur chacune de mes fesses.

— Celles-là, pour moi aussi, pas pour vous, me dit-il.

Je ne me retourne pas, mais je sens qu’il me sourit. Louise a fait le tour de la remorque, elle est en face de moi. Elle nous regarde bizarrement. Je lui fais un clin d’œil, elle me répond de la même façon.

Je sens sa queue contre mes fesses. Il s’y faufile, cherche ma fente. J’ai un dernier moment de lucidité :

— Vous avez mis une capote ?
— Oui bien sûr.

Il s’arrête un peu. Je sens qu’il est à l’orée de mon vagin.

— Tu peux vérifier, s’il te plaît ?

Louise fait le tour de la voiture.

— Je ne vois rien.
— Il n’a pas mis de capote ?
— Si, je vous dis.
— Je ne vois pas. Sans doute à cause de tes fesses voluptueuses !
— Ben, touche alors…
— Je touche quoi ?
— Sa queue, à ton avis ?
— Oui, c’est bon.

Louise revient à sa place, en face de moi.

— Oui, il a une capote
— Je ...

... vous l’avais dit
— Tu l’as touchée ?
— Oui, je l’ai touchée. J’en ai fait le tour avec mes doigts, j’ai bien senti la capote. Elle m’a paru très bien, d’ailleurs.
— Alors, allez-y, comme la dernière fois.
— À vos ordres.

Il y va. Il fait ses allers et retours. C’est très agréable. Mon excitation monte doucement. Soudain, une fessée. Je vois Louise s’inquiéter, chercher mon regard. Je suis trop excitée pour parler à Louise. Seul mon baiseur m’intéresse.

— Attendez encore un peu avant de me fesser, je ne suis pas assez excitée, mais ça ne va pas tarder

Quelques coups (de bite) plus tard, je lui dis :

— C’est bon, allez-y.

Bizarrement, il ne me fesse pas.

— Un problème ?
— Un peu.
— Lequel ?
— Votre copine. Son regard. J’ai l’impression qu’elle me juge. Je suis excité, vous êtes très bonne à baiser, mais j’ai une petite gêne pour aller plus loin.

Je regarde Louise. Elle a l’air assez intéressée. Je ne l’ai jamais vu comme ça. J’ai une idée :

— Mets-toi seins nus.
— Quoi ?
— Enlève le haut.
— Pour quoi faire ?
— Ça va lui plaire. Il aura l’impression que tu participes, pas que tu le juges. Fais ce que je te dis.

Louise enlève son haut, et son soutif. Aussitôt, je sens que les coups reprennent, comme j’aime.

— Maintenant, vous me fessez.

Et enfin, je sens mes fesses vibrer et rougir.

— Vous ne vous arrêtez pas. Même quand je jouirai. Parce que je vais jouir. Même si je m’évanouis. C’est elle qui va gérer.

Je sens le plaisir monter, ...