1. J'ai une remorque et j'aime ça.


    Datte: 21/09/2024, Catégories: fh, ff, 2couples, grp, inconnu, Collègues / Travail jardin, parking, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, attache, délire, Humour occasion, Auteur: Cormobin, Source: Revebebe

    Je suis remorcophile et j’aime ça !
    
    Je m’appelle Claire, dans la quarantaine rayonnante, et on peut dire que je suis une femme épanouie. Dans le sens où, tant professionnellement que personnellement, je fais un peu ce que je veux. C’est une liberté extraordinaire.
    
    J’ai hérité d’une petite maison avec un petit terrain non loin de Toulouse. A la campagne, tout en n’étant pas très loin du Capitole. C’est un bien qui appartenait à mon grand-oncle, décédé alors qu’il allait être centenaire. Il y a vécu quasiment toute sa vie, se contentant de maintenir cette maison tout juste en état. Comme j’étais la seule héritière, sans qu’il ait fait un testament, c’est devenu ma propriété.
    
    Je ne connaissais pas trop ce bien. J’y étais venue quand j’étais enfant. J’en avais peu de souvenirs. L’estimation du bien était faible, je pensais que c’était petit, et j’envisageais de le vendre. J’ai tout de même visité, et je suis tombé sous le charme. Une fois retapée, cette maison pourrait offrir des espaces sympas. Mais il allait falloir faire pas mal de travaux.
    
    Et puis, à y bien regarder, ce n’était pas si petit que ça. Je pourrais aménager rapidement une ou deux pièces, pour y faire du télétravail et éviter ainsi les embouteillages de la rocade toulousaine.
    
    Mon père était bricoleur, et j’avais appris à ses côtés. Mais il fallait que je m’équipe. Premiers travaux à faire : évacuer tout un tas de trucs qui traînaient. Pour la première fois de ma vie, je me suis mise en quête d’une ...
    ... remorque. Je n’avais aucune idée de prix, et je suis allée chez Norvélo, pour ne pas faire de la pub à cette enseigne.
    
    Me voilà donc, en tenue de travail, tailleur, talons, maquillée, faisant le tour des matériels disponibles. Mon choix s’est arrêté sur un modèle pour 500 kg, 2,49 m de longueur. Le vendeur s’est montré attentif à mes attentes. Le fait que j’ai été obligée de me pencher n’a sans doute pas nui à l’intérêt qu’il me portait. J’avoue que je suis assez fière de mes décolletés, sans être aguicheuse, enfin, quand je suis au travail. Ma situation de direction me permet de m’habiller comme je veux, sans vulgarité.
    
    Quand il m’a expliqué comment manœuvrer le timon, et faire les branchements, j’ai senti qu’il avait besoin de se concentrer pour ne pas lorgner sur mes seins. Après tout, il aurait eu tort de s’en priver ! Comme il fallait faire un peu d’aménagement, bâche, rampe, réhausseurs, plaque d’immatriculation, etc., il a été convenu que je passerai la chercher le samedi. Coup de chance, ma voiture avait une attache. Je l’avais achetée dans mon garage habituel, un véhicule d’occasion, avec attache, dont je ne m’étais jamais servie.
    
    Quand je suis arrivée, j’ai bien vu que mon rendez-vous avait été préparé. « Mon » vendeur n’était pas tout seul. Désolée pour lui et ses collègues, j’étais en tenue de bricolage, jean, vieux sweat, c’était du pratico-pratique. On a refait le tour de tous les équipements, comment attacher la remorque, les branchements électriques, et ...
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