J'ai une remorque et j'aime ça. - Histoires de Sexe

J'ai une remorque et j'aime ça.

... Je lève la tête, prête à crier, et j’aperçois le visage de mon baiseur, à 30 cm du mien, et je me dis, que fait-il là, alors qu’il doit être en train de me baiser. Son visage est décomposé, il a l’air très perturbé, du coup, je ne crie pas, et je lui demande :

— Que se passe-t-il ?

Je le vois se détendre.

— Vous m’avez fait peur. Vous vous êtes évanouie. C’est pour ça que je vous ai donné une claque.
— Je me suis évanouie ?
— Oui, au moins trente secondes. Je croyais que c’était un orgasme, mais vous avez arrêté de crier, et vous vous êtes effondrée sur vos bras. Je ne savais pas quoi faire.

Je finis de me redresser. Il est drôle. Le pantalon sur les chevilles. Sa queue n’est plus à la verticale, toujours encapotée. J’éclate de rire. Il sourit.

— Vous m’avez vraiment fait peur ; ça vous arrive souvent ?
— C’est la première fois. L’orgasme était géant. J’ai eu un trou noir.
— Tant mieux pour vous. Et encore désolé pour la baffe. Je ne savais vraiment pas quoi faire.
— C’est bon, je ne vous en veux pas. Vous avez joui, vous ?
— Ben non, j’y étais presque, pourtant. Je ne vais pas vous laisser comme ça. Là, mon excitation est tombée.
— Je vais vous branler.
— Vous n’êtes pas obligée.
— Laissez-moi faire, j’en ai très envie et vous le méritez.

J’attrape sa queue, j’enlève la capote

— Elle est très bonne votre queue.
— Queue, chatte, on a droit, mais pas cochonne ?
— Exactement. Vous verrez, si on recommence, vous apprendrez.
— Parce qu’on va ...

... recommencer ?
— Après un tel orgasme, oui. Laissez-vous faire.

Sa queue se raidit.

— C’est bon, je vous branle bien ?
— Oui, continuez comme ça.
— La prochaine fois, s’il y en a une, vous pourrez me guider. Aujourd’hui, c’est à l’instinct. Mon instinct.

Je continue, il se raidit de plus en plus. Je sens qu’il va bientôt jouir. Avec ma main gauche, j’attrape ses couilles, que je caresse avec la pulpe de mes doigts. Je me décale un peu, je ne veux pas en prendre sur moi, et je le regarde dans les yeux.

— Maintenant…

Il jouit. De longs jets. Je le branle bien encore.

— Je lâche ?
— Oui.
— C’était bien ?
— Oui. Très bien. Petit regret de ne pas avoir joui dans votre chatte, elle était très bonne.
— Une prochaine fois, peut-être ? Pas de copine régulière ?
— Non. Comment vous le savez ?

Je ne réponds pas. J’ai un peu de sperme sur la main, je m’essuie dans l’herbe. Je reste comme ça, les fesses et la chatte à l’air. J’aime bien.

— Que du sexe entre nous, d’accord ?
— Pourquoi pas, c’est très bizarre.
— Rendez-vous au même endroit, chez Casto-Merlin, la semaine prochaine.
— D’accord. Et pour la remorque ? Pas besoin d’aide pour décharger tout ça ?
— Ne vous inquiétez pas, j’y arriverai toute seule.

Louise, c’est mon amie. On a fait nos études ensemble, il y a bien longtemps, et les aléas personnels et professionnels nous ont ramenées dans la même ville. Nous nous dépannons souvent, depuis des tampons lorsqu’on a mal regardé le calendrier, jusqu’aux ...