J'ai une remorque et j'aime ça. - Histoires de Sexe

J'ai une remorque et j'aime ça.

... Il est derrière moi, j’aperçois son sexe, qui semble correspondre à mes goûts. J’attends qu’il enfile la capote, et je le regarde dans les yeux.

— Allez-y. Petit rappel, ce n’est que du sexe. Donc vous me baisez, mais bien.

Je le sens passer son sexe contre moi, contre mes fesses, il cherche l’entrée. Il la trouve, mais ce n’était pas difficile. Il s’introduit en moi.

— C’est bon, ça va ?
— Oui, vous pouvez y aller

Et je l’entends dire :

— Voilà, c’est ce que tu voulais, cochonne ?

Alors là, ça ne va pas. Je passe une main derrière moi, j’attrape son sexe, et je le sors.

— Pardon, je crois qu’on ne s’est pas compris. Vous me baisez, mais vous me respectez. Pas de parole déplacée, pas d’insulte. Vous pouvez me parler et si ça me plaît, je vous répondrai, pas de souci, mais avec respect, c’est clair ?
— Oui, OK, excusez-moi
— Ne vous excusez pas, baisez-moi correctement, votre queue me plaît, j’en meurs d’envie

J’attrape sa queue, je me retourne, et hop, directement dans ma chatte. Il me lime doucement, en silence. Je me retourne, avec un sourire. Malgré la position, je pense qu’il voit que je souris.

— Vous pouvez y aller plus fort. Vous pouvez me parler aussi.

Ah, je sens qu’il y va un peu plus. Et surtout, il ne débande pas.

— C’est bon comme ça ?
— Oui, mais vous pouvez y aller un peu plus fort, si ça vous va. Tenez-moi bien par les hanches.
— Comme ça ?
— Vous pouvez me tenir un peu plus fort. Faites-moi sentir que vous prenez du ...

... plaisir aussi. Ce n’est pas parce que vous ne m’insultez pas que vous ne prenez pas de plaisir, non ?
— Non, non, ça va, ça va. Votre chatte est très agréable. Chatte, je peux ?
— Oui, ce n’est pas une insulte. Vous êtes endurant ?
— Oui, je pense, enfin, pas des heures, mais ça va. Et vous ?
— Oui, j’encaisse assez bien, je pense. Mais là, je suis excitée, j’ai envie de jouir. La remorque certainement.
— Pas moi ?
— Si, vous aussi, bien sûr, vous pourrez jouir. Allez-y un peu plus fort.

Il accélère.

— Comme ça ?
— Oui, mais pas seulement. Essayer de sortir un peu plus votre queue et d’aller plus loin dans ma chatte. Ne soyez pas timide.

Ah, c’est mieux, encore mieux, j’avais peur qu’il ne supporte pas que je prenne les commandes, pendant qu’il me tient les hanches, mais ça n’a pas l’air de le gêner. Je l’encourage.

— Oui, c’est très bien, vous me faites de l’effet. Essayez de me fesser, un peu.
— Je peux vous fesser ?
— Oui, je viens de vous le demander, allez-y

Un coup. Il est un peu timide.

— Plus fort.
— Comme ça ?
— Oui, allez-y, pas plus fort, et tenez bien avec votre autre main.

Ah oui, c’est bien, je sens le plaisir monter.

— C’est très bien, ne vous arrêtez pas.
— Comme ça ?
— Oui, ne vous arrêtez pas, je, je, je, je vais jouir…

Je sens le plaisir monter très, très haut, je jouis, je m’entends crier, puis plus rien, un trou noir. Et tout d’un coup, bing, une baffe. J’ouvre un œil et je vois une main prête à m’en mettre une autre. ...