J'ai une remorque et j'aime ça. - Histoires de Sexe

J'ai une remorque et j'aime ça.

... me sens obligée de poursuivre :

— Excusez-moi pour ma brusquerie, mais on n’est pas là pour discuter. Monsieur, je ne le connais pas. Je sais juste qu’il me baise merveilleusement bien, et vous, je ne vous ai jamais vus. Alors, on y va.

Je me tourne vers Louise :

— Tu m’attaches, comme la dernière fois.

Je ne regarde même pas le couple. Je mets mes mains sur le timon, Louise m’attache. Je me tourne vers mon baiseur.

— Allez-y, comme d’habitude.

Il semble un peu gêné.

— Un souci ? Vos amis ?
— Non, mais vous avez gardé votre culotte.
— Je n’en ai pas mis. Allez-y.

Il s’approche de moi. Je regarde droit devant moi. Il soulève ma robe, me la rabat jusque sur mes épaules. Je sens la fraîcheur sur mes fesses, c’est bon.

— Je n’ai jamais vu vos seins.
— Il ne faut jamais dire jamais. Allez-y, ma chatte attend votre queue.

Et il s’y engouffre. C’est la troisième fois. On dirait que nos corps se connaissent. Je n’ai plus besoin de le guider. Louise s’est mise en face de moi. Elle regarde tantôt moi, tantôt lui. Je vois à son regard qu’elle est déjà bien excitée. Je sens un mouvement à mes côtés, sans doute le couple qui s’est rapproché. Je ne dis rien, je me détends. C’est bon. Sa queue a bien pris possession de ma chatte. Il accélère un peu, il amplifie les mouvements. C’est très bon, très réussi. Je sens le plaisir monter. Il commence à me fesser. Je murmure quelques « oui », ou des « oui, comme ça ». Je relève une dernière fois la tête. Louise a ...

... un regard quasi extatique. Je me concentre sur mon plaisir, ça monte, ça monte, je commence à crier, je crie, je crie, puis comme les fois précédentes, le trou noir, mes cris qui semblent me réveiller, et la descente. Il s’arrête, et m’interroge :

— Comme la dernière fois ? On continue ?
— Non, on va changer un peu.

Je regarde Louise.

— Tu viens me détacher.

Louise arrive. Elle a les yeux dans le vague. Elle ne parle pas. Je suis libérée, je me retourne vers lui. Je le regarde dans les yeux, et j’enlève ma robe. Je suis nue. Il peut voir mes seins.

— Vous vouliez les voir ? Vous n’êtes pas déçu ?

Il est là, devant moi, la queue bien dressée, encapotée.

— Superbe poitrine.
— N’est-ce pas ? Allez, on ne va pas vous laisser en plan comme ça.

Je me tourne vers Louise :

— Tu te tournes vers la remorque ?

Louise semble ailleurs :

— Ça va ?
— Oui, oui.
— Alors, tiens-toi à la remorque.

Elle s’accroche. Je passe derrière elle, et sans discuter, je soulève sa robe. Je descends légèrement sa culotte et je lui demande :

— Je peux ?
— Je peux le faire toute seule, tu sais.
— Tu m’as rendu service, la dernière fois. J’y vais ?
— Oui, et tu me dis si c’est bon.

Mon majeur s’introduit entre ses fesses et cherche l’entrée. Il la trouve. C’est chaud et humide. Très humide.

— C’est mouillé, tu es prête.

Louise ne dit rien. Je poursuis donc :

— Tu sais, le consentement, c’est important. Il faut que tu demandes.

Louise ne se démonte pas ...