J'ai une remorque et j'aime ça. - Histoires de Sexe

J'ai une remorque et j'aime ça.

... :

— Allez-y, j’ai envie de votre queue, que vous me sodomisiez.

Il me regarde. Il ne semble pas conscient de ma nudité :

— Ben quoi ? Quelques petits changements. Vous pouvez mater mes seins, et vous enculez ma copine, ça vous convient ?

Il sourit.

— Tout à fait.
— Par contre, vous changez de partenaire, vous changez de capote.
— Bien sûr.

Un vrai gentleman. Ni une, ni deux, il déchire la petite enveloppe, escamote l’ancienne capote, met la nouvelle et se prépare.

— Vous me dites.
— Oui, allez-y, je vous dirai.

Louise est bien cramponnée à la remorque. Elle tend bien ses fesses à l’arrière. Lui, un vrai gentleman, il ne dit rien sur la petite ficelle qu’il a certainement aperçue.

— Vous pouvez y aller. Un peu plus fort. Comme dirait ma copine, j’encaisse bien du cul, et je suis endurante.

Il y va. Avec ardeur. Je me tourne vers le couple. Je ne saurai décrire leur attitude. Naturelle ? Stupéfaite ? Intéressée ? Excitée ? C’est elle qui parle. Je n’ai pas encore entendu la voix de son conjoint.

C’est très surprenant.

Oui, en effet, je suis moi-même très surprise. Excitant aussi peut-être ?

Je ne sais pas…

— Allez, vous pouvez être franche avec moi. On ne se connaît pas. Je suis à poil devant vous. Vous m’avez vue me faire prendre en levrette, crier, et maintenant, votre pote encule ma copine. Alors, lâchez-vous.
— Oui, vous avez raison. Oui, excitant.

Elle se tourne vers son conjoint.

— Et toi, mon chou, t’en penses quoi ...

... ?
— Excitant, oui, et surprenant.

J’interviens.

— Vous ne vérifiez pas ? S’il est excité. S’il bande, quoi !

Elle ne dit rien, mais elle avance sa main, et cherche son sexe. Elle se tourne vers moi.

— Oui, il bande.
— Et vous, vous mouillez ?
— Je crois, oui.
— Alors, allez-y, laisser vous aller vers le plaisir !
— Là, maintenant ?
— Oui, je vous laisse vous cramponner à ma remorque. Mettez-vous en face de ma copine, et faites comme elle.
— Non, non, pas de sodomie.
— Levrette alors, je m’en fous, mais profitez !
— Mon chou ?

Le chou ne répond pas, il entraîne sa compagne de l’autre côté, face à Louise. Elle est en robe, elle aussi. Je le vois passer les mains sous la robe, descendre et glisser quelque chose dans sa poche. Il s’approche d’elle, se colle à ses fesses, et vu les mouvements, je pense qu’il s’est introduit en elle. Elle se tient à la remorque, mais je la sens crispée. Je m’approche d’elle. Je suis toujours nue, mais en fait, parfaitement à l’aise, alors que ma copine vient de commencer à se faire sodomiser.

— Un souci ?
— Peut-être.

Son homme s’est quasiment arrêté. Il reste fiché en elle, mais sans bouger.

— Allez-y, je vous ai dit. Dites-moi.
— En fait, en levrette, pour que je prenne du plaisir, il faut que je me touche en même temps. Mais comme je me tiens à la remorque. Et aussi…
— Oui ?
— Il est parfois un peu rapide. Enfin, pas trop, mais j’ai besoin de beaucoup de temps pour avoir du plaisir. Surtout en levrette.
— OK, ...