J'ai une remorque et j'aime ça. - Histoires de Sexe

J'ai une remorque et j'aime ça.

... clito, je le branle.

— C’est bon ?
— Oui.
— Tu préfères le clito, ou le doigt dans la chatte ?
— Je ne sais pas. Mais vas-y. J’ai envie de jouir. Vite.
— OK, tu me guides, si tu veux.

Je caresse le clito, puis je redescends. Vu comme elle est mouillée, j’y mets deux doigts. Je le lui dis.

— J’ai mis deux doigts. Tu le sens ?
— Pas vraiment. Mais c’est bon, vas-y, enfonce-les, ça m’excite.

J’y vais, je m’enfonce, je sors, j’entre, je sors, j’entre. J’y mets trois doigts.

— Trois doigts, maintenant.
— Continue. Fort.

Je la sens vibrer un peu plus, elle se cale encore un peu plus contre la remorque. Malgré la position, elle écarte un peu plus les cuisses.

— Plus fort, va plus vite.

Je m’exécute. J’accélère, ça faitfloc floc. Elle se crispe. Elle se mord encore la lèvre.

— Mon clito, maintenant.

Je sors mes doigts, et je mets mon majeur sur le clito. J’y vais fort.

— Oui, comme ça.

Puis elle râle, elle crie. Elle lâche une main qui était sur la remorque, puis attrape mon poignet. Elle manque de s’affaler, elle arrête de crier, puis elle se relâche. Elle me regarde. Elle sourit.

— Géant. Merci.
— De rien.
— Dis, on vient de faire quoi, au juste ?
— Je ne sais pas. On s’est juste occupé de la remorque, je crois.

Et on éclate de rire toutes les deux.

La semaine s’est bien passée. Notre dîner avec Louise a eu lieu, nous avons très rapidement évoqué notre aventure sexuelle. Il en est ressorti deux choses. D’une part, pas la peine ...

... d’en parler, ce n’est que sexuel. D’autre part, une envie de recommencer ou de continuer, ou de faire autre chose du même genre, dès que possible.

Nous voilà donc en chemin pour Casto-Merlin. Même lieu, même heure, a-t-on dit. Petit doute tout de même, mon baiseur sera-t-il là ? Un truc dont on a perdu l’habitude, avec nos outils de communication moderne, qui nous permettent de maintenir en permanence le contact. Là, comme je ne connais pas le nom du monsieur, pas moyen d’avoir une confirmation.

Sur le trajet, Louise a l’air un peu embêtée :

— Claire, j’ai un petit souci.
— Petit petit, ou petit grand ?
— Pour moi, petit.
— Allez dis-moi.
— J’ai mes règles.
— Oui. Et alors ?
— Ben, je me disais, vu comme ça s’était passé la dernière fois, j’aurais bien aimé…
— Aimé quoi ?
— Goûter la queue du monsieur.
— Très bien, je suis partageuse, quel est le problème ?
— Ben une fois, avec un de mes ex, on a essayé pendant les règles, et il est tombé dans les pommes.
— Un con.
— Oui, comment tu le sais ?
— Pfff.
— OK, mais tout de même, eu égard à la situation…
— Pas de souci, si tu préfères, une fois qu’il m’aura bien baisé la chatte, il te sodomisera.
— OK, ça me va.
— Tu vois, pas de souci.

Nous arrivons devant la cour des matériaux. Encore une fois, mais ai-je besoin de le répéter, le trajet avec la remorque m’a mis dans tous mes états. Je me gare, et nous descendons. Nous arrivons, et je retrouve sans difficulté mon baiseur :

— Bonjour, vous allez bien ...